홀리바이블소사이어티(HBS)는 최근 이슬람 선교를 위한 노력으로 아랍어권 서비스를 도입하면서 큰 주목을 받고 있다. 이 단체의 회장으로는 한국인 장재형목사가 선임되어 활동 중이다.
HBS는 국제적인 성경 보급 단체로서, 디지털 기술과 인터넷을 활용하여 모든 사람들이 성경에 쉽게 접근할 수 있도록 하는 것을 목표로 설립되었다.
장재형목사는 선교사를 파송할 때 언급하며, 성경이 아직 인쇄되지 않거나 정부에 의해 금지된 국가들에서도 복음을 전하려는 노력을 강조했다. 그는 “성경 보급에 대한 중요성을 깊이 인식하게 되었고, 성경이 전 세계 어디서나 접근 가능하게 하는 것이 우리의 사명 중 하나”라고 밝혔다.
HBS는 성경 보급에 현대 기술을 적극 활용하고 있다. 이 단체는 인터넷의 중요성을 강조하며, 이를 중세 유럽의 구텐베르그에 의한 인쇄혁명과 비교하고 있다. 만일 1400년대에 인쇄 기술이 개발되지 않았다면, 루터나 칼빈과 같은 유명한 개혁주의자의 업적을 상상하기 어려웠을 것이라고 설명했다.
장재형목사는 “우리의 사역의 핵심은 다양한 수단을 통해 성경에 쉽게 접근하도록 하는 것”이라며 “성경과 관련된 다른 기관들과 협력하여 하나님의 말씀을 세계적으로 전파하는 데 노력하겠다”고 말했다. 이를 통해 HBS는 전 세계적으로 하나님의 말씀을 널리 퍼뜨리는 사역을 강화하고자 한다.
Ⅰ. Le Royaume de Dieu vu à travers la christologie, la sotériologie et l’eschatologie
Le pasteur David Jang met l’accent sur l’histoire de l’Église et sur les vérités fondamentales de la Bible en soulignant la manière dont les trois doctrines que sont la christologie, la sotériologie et l’eschatologie sont étroitement liées et conduisent finalement au « Royaume de Dieu ». Il explique d’abord que la christologie commence par la question : « Qui est Jésus ? ». À travers toute l’histoire de l’Église, on a abouti à la conclusion que « Jésus-Christ est vraiment Dieu et vraiment homme (veredeus verehomo) », synthèse formalisée lors du Concile de Nicée (325) et du Concile de Chalcédoine (451). Selon le pasteur David Jang, cette décision est d’une importance capitale pour la compréhension de la christologie. Jésus est le Dieu Saint, sans péché, et simultanément un vrai homme qui a expérimenté directement toutes les souffrances et toutes les faiblesses humaines. Bien saisir cette double nature mystérieuse constitue, selon lui, le fondement indispensable pour accueillir correctement la sotériologie.
De ce point de vue, toute position théologique qui nie la divinité de Jésus-Christ ou minimise Son humanité affaiblit la structure même de la christologie et ne peut déboucher correctement sur la doctrine du salut. Évoquant la Réforme protestante historique de 1517, le pasteur David Jang rappelle que Luther, Calvin et les autres réformateurs ont proclamé : « Le salut s’obtient uniquement par la foi (Sola Fide) et uniquement par la grâce (Sola Gratia) ». Il souligne l’importance de se remémorer cette déclaration qui s’opposait à la dilution et à la déformation de la foi par l’Église médiévale, laquelle avait mêlé le salut, acquis par la foi et la grâce seules, à d’autres éléments. Le pasteur David Jang affirme : « En réalité, la sotériologie de la Réforme protestante était un appel à “revenir à la Bible” ». Ainsi, la doctrine du salut par la foi seule et la grâce seule, telle que soutenue par l’Église réformée, est hautement biblique et juste. Il ajoute que la doctrine n’est pas simplement réservée aux manuels ou aux cours d’instruction de l’Église : elle doit fonctionner de manière vivante dans la vie quotidienne des croyants.
Le pasteur David Jang poursuit en signalant que, si la christologie et la sotériologie sont relativement bien établies, l’eschatologie fait l’objet de nombreuses divergences au sein du monde ecclésial. Il précise : « Le sujet central abordé par l’eschatologie, c’est la question du “temps et du moment (Time and Date)” ». Il note que, dans ce contexte, le terme de « temps » se dit Chronos en grec, tandis que le « moment » se dit Kairos. Le Chronos désigne le temps quantitatif et continu, tandis que le Kairos renvoie à ce moment décisif où un événement qualitatif survient. Selon le pasteur David Jang, dans la Bible, le retour de Jésus est précisément un « événement kairos ». Il souligne également que la venue de Jésus sur terre – ce moment historique qui sépare le temps avant et après Christ – est un événement qui divise littéralement l’histoire. Par conséquent, l’eschatologie s’intéresse avant tout au processus et au moment concret où s’accomplira le Royaume de Dieu sur cette terre.
Selon le pasteur David Jang, l’Écriture nous enseigne à travers des prophéties précises, leur part d’incertitude et les paroles directes de Jésus, que « le temps et le moment n’appartiennent qu’à Dieu seul ». Les versets d’Actes 1 :7-8 illustrent bien cet enseignement : « Ce n’est pas à vous de connaître les temps ou les moments que le Père a fixés de sa propre autorité ; mais vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins… jusqu’aux extrémités de la terre ». De là, le pasteur David Jang conclut que, si l’on doit s’intéresser à l’eschatologie, on ne doit pas succomber à de fausses prédictions de la fin ou laisser la peur nous envahir. Il insiste au contraire sur une attitude résolument active dans le témoignage de l’Évangile et la préparation du Royaume de Dieu ici et maintenant : voilà, dit-il, la véritable manière de vivre dans l’attente eschatologique.
Qu’est-ce donc que le « Royaume de Dieu » ? Le pasteur David Jang décrit souvent l’histoire du salut – création, chute, rédemption et Royaume de Dieu – au moyen du concept dit « des quatre lois spirituelles » (souvent appelé “4 points” ou “4 principes”). L’homme vivait originellement au paradis, dans le jardin d’Éden créé par Dieu, mais il a été chassé à cause du péché. Toutefois, comme l’indique Jean 3 :16, Dieu a envoyé Son Fils unique, Jésus-Christ, pour que l’homme obtienne la vie éternelle, et le but ultime de ce salut est « la restauration du Royaume de Dieu », explique le pasteur David Jang. De même, la question des disciples dans Actes 1 :6 – « Seigneur, est-ce en ce temps que tu rétabliras le royaume d’Israël ? » – reflète leur désir de voir restauré le Royaume que nous avons perdu : un monde juste sous la souveraineté de Dieu. Profondément enfoui dans l’âme humaine, dit-il, subsiste un désir de ce paradis perdu, ce qui constitue l’« aspiration instinctive au Ciel ». Même si le moment de son achèvement nous est inconnu, il affirme avec force qu’il s’accomplira certainement par le retour de Jésus.
Le pasteur David Jang souligne notamment la question de la « justice » comme l’un des points clés de la doctrine du Royaume de Dieu. Dans Matthieu 6 :33, Jésus dit : « Cherchez d’abord le Royaume de Dieu et sa justice, et tout cela vous sera donné par surcroît ». Le pasteur David Jang affirme que le Royaume de Dieu est un lieu où règne la justice. Quand les puissances injustes perdent leur emprise et que Dieu exerce Sa souveraineté, alors « la justice se répandra comme un fleuve » (selon Amos 5 :24). Pour lui, le Royaume de Dieu n’est pas une idée abstraite, mais la souveraineté de Dieu qui se manifeste dans l’histoire et dans notre vie de tous les jours, nous appelant à lutter contre l’injustice et à défendre la justice. Il répète inlassablement que sa mission pastorale a consisté à aider l’Église et les croyants à mettre concrètement en pratique la parole « Cherchez d’abord son royaume et sa justice ».
Le pasteur David Jang remarque que les préoccupations quotidiennes de la plupart des gens tournent autour de l’argent et de l’abondance matérielle. Pourtant, selon l’enseignement du Seigneur, l’homme a tendance à s’inquiéter excessivement de « ce qu’il mangera, boira ou mettra », et néglige parfois l’engagement dans le service et le sacrifice pour le Royaume de Dieu. Dans Matthieu 6 :19-20, Jésus déclare : « Ne vous amassez pas des trésors sur la terre… amassez-vous des trésors dans le ciel ». Le pasteur David Jang commente ce passage en soulignant que la véritable valeur ne se limite pas à ce que nous possédons sur cette terre, mais que nos actions sont « stockées » dans le Royaume éternel. C’est le chemin pour expérimenter la promesse paradoxale : « Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés » (Matthieu 5 :6). Autrement dit, Jésus Lui-même a promis que ceux qui donnent leur vie pour le Royaume et la justice de Dieu recevront en abondance tout ce dont ils ont besoin.
Mais comment ce Royaume de Dieu promis par Jésus s’installe-t-il concrètement ? Le pasteur David Jang se réfère aux paraboles du Royaume dans Matthieu 13. Jésus y compare le Royaume des cieux à une graine de moutarde : bien qu’invisible au départ, elle grandit et devient un arbre capable d’accueillir les oiseaux. De même, la parabole du levain illustre un Royaume qui opère de façon cachée, jusqu’à transformer le monde entier. David Jang explique que cet enseignement de Jésus est directement lié à la vision eschatologique. « Notre Église a toujours enseigné, aux côtés des quatre lois spirituelles, l’espérance du Royaume de Dieu », dit-il : le croyant sauvé ressent un désir inné de rétablir le paradis perdu, et c’est ce désir qui s’exprime dans la prière du Seigneur : « Que Ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel ».
Ainsi, la christologie affirme « Qui est le Sauveur », la sotériologie explique « Comment sommes-nous sauvés », et l’eschatologie répond à la question : « Quel est ce Royaume vers lequel se tournent les sauvés ? ». Selon le pasteur David Jang, ces trois doctrines forment un ensemble trinitaire, chacune s’imbriquant dans l’autre. Par la christologie, nous établissons que seul Jésus nous sauve, par la sotériologie, nous prenons conscience de notre dépendance totale envers la grâce, et par l’eschatologie, nous nous rappelons que nous devons obéir et témoigner dès aujourd’hui pour que la souveraineté de Dieu se manifeste. Ces doctrines ne demeurent pas de simples connaissances : elles se traduisent par la pratique de la foi, faisant advenir concrètement le Royaume de Dieu dans notre réalité.
C’est dans cette perspective que l’Église et les divers ministères dirigés par le pasteur David Jang s’efforcent de fonder la foi chrétienne sur des bases doctrinales essentielles. Depuis de nombreuses années, il enseigne sur les terrains pastoraux et missionnaires que la doctrine est comme la charpente d’un corps. Si le squelette est sain, le reste du corps peut se mouvoir harmonieusement. De la même manière, en tenant fermement l’identité de Jésus, la manière dont nous sommes sauvés et le plan de Dieu jusqu’à la fin, les croyants ne seront pas ébranlés et pourront vivre justement dans ce monde. C’est ce socle doctrinal qui permet de mettre en pratique l’ordre de Jésus : « Cherchez d’abord son royaume et sa justice ». Le pasteur David Jang exhorte chaque génération de chrétiens à se remettre en question devant cette parole. « Quel est mon véritable ordre de priorité ? Suis-je vraiment dévoué au Royaume de Dieu ? » : cette question n’est pas propre à une époque ou un épisode de la vie, mais doit embrasser l’existence tout entière.
En fin de compte, explique-t-il, « si nous étudions l’eschatologie, ce n’est pas pour connaître “le temps ou le moment” et satisfaire une curiosité face aux événements du monde ». C’est plutôt pour aspirer au Royaume de Dieu que Jésus viendra parachever, pour croire qu’Il a déjà commencé d’y régner, et pour manifester cette souveraineté en prêchant l’Évangile et en vivant selon la justice. Voilà ce qu’est la vraie foi eschatologique. La fin des temps n’est pas synonyme d’anéantissement, mais de « nouveau ciel et nouvelle terre » que Christ restaure pleinement. C’est pourquoi le pasteur David Jang insiste sur la nécessité pour nous de nourrir chaque jour ce rêve et cette espérance du Royaume de Dieu. Lorsque le Royaume de Dieu s’établira pleinement, « la justice se répandra comme un fleuve » dans ce monde empreint d’injustice, réalisant ainsi la vision prophétique de l’Ancien Testament. Et il en appelle à notre époque pour que nous détournions nos regards des biens matériels et du succès éphémère, afin de les fixer sur la souveraineté éternelle de Dieu.
Ⅱ. «Cherchez d’abord son royaume et sa justice»
Se fondant sur sa méditation de Matthieu 6 :33, le pasteur David Jang explique le sens concret du commandement de Jésus : « Cherchez d’abord son royaume et sa justice » pour tous les chrétiens de notre époque. Certains interprètent ce verset de manière trop spirituelle ou abstraite, au point de croire qu’il justifierait de négliger complètement les besoins concrets. Or, selon le pasteur David Jang, lorsque Jésus dit : « Ne vous inquiétez pas de ce que vous mangerez, boirez ou mettrez », Il ne nous invite pas à ignorer ces nécessités, mais Il nous rappelle qu’il existe une priorité supérieure. Dans ses prédications et enseignements, David Jang répète : « Il est évident que la nourriture et le vêtement ont leur importance, mais le Royaume de Dieu est d’une valeur suprême ».
Il souligne à ce propos que, dans tout Matthieu 6, Jésus critique l’« attachement excessif à l’argent ou à l’apparence », et exhorte à faire confiance à Dieu au lieu de s’abandonner à l’inquiétude. Le pasteur David Jang illustre cette vérité à partir de l’histoire du prophète Élie dans l’Ancien Testament. Dans 1 Rois 17 :1-16, alors qu’une sécheresse frappe le pays d’Israël, Dieu envoie Élie au torrent de Kerith où il est nourri par des corbeaux. Puis Il l’envoie chez la veuve de Sarepta, dans le pays de Sidon. Or cette veuve, affectée elle aussi par la famine, n’a plus qu’une poignée de farine et un peu d’huile pour faire un dernier pain avant de mourir avec son fils. Malgré cette extrême pauvreté, Élie, en s’appuyant sur la Parole de Dieu, lui demande : « Fais d’abord un pain pour moi ». Et la veuve lui obéit avec foi. En conséquence, la farine du pot et l’huile de la cruche ne diminuent pas tant que durera la sécheresse, un miracle se produisant ainsi jusqu’au retour de la pluie.
Le pasteur David Jang commente cet épisode en parlant de la « foi du dépouillement (kenosis) », qui amène finalement le miracle. Du point de vue de la veuve de Sarepta, offrir son ultime ration de nourriture revenait à risquer la mort de faim imminente. Pourtant, ayant confiance dans la parole transmise par l’homme de Dieu, elle donne d’abord ce peu de farine et d’huile à Élie, et finit, avec son fils, par manger à satiété pendant de nombreux jours. David Jang y voit l’illustration concrète du fait que « celui qui a faim et soif de justice sera rassasié, et celui qui cherche d’abord le Royaume de Dieu recevra tout en plus ». Ainsi, même dans les circonstances qui, humainement, semblent impossibles, si l’on prend une décision de foi en faveur du Royaume de Dieu, le Seigneur pourvoit réellement dans la vie de tous les jours. C’est ce qu’il appelle « la dynamique du miracle ».
On retrouve une logique similaire dans le Nouveau Testament avec le miracle de la multiplication des pains. Luc 9 :10-17 en relate l’épisode, qui figure dans les quatre Évangiles, signe de son importance majeure. Face à la foule rassemblée dans un lieu désertique, les disciples n’ont pas assez de quoi nourrir tout le monde. Mais Jésus leur dit : « Donnez-leur vous-mêmes à manger ». Ils objectent : « Nous n’avons que cinq pains et deux poissons ». De simples pains d’orge, probablement secs et grossiers, et quelques poissons de petite taille. Cependant, Jésus bénit ces cinq pains et ces deux poissons, puis les remet aux disciples pour la distribution. Le résultat : environ cinq mille hommes sont rassasiés, et il reste même douze paniers pleins.
Le pasteur David Jang voit dans cette scène un exemple manifeste qui montre « comment Dieu comble largement même les besoins matériels de ceux qui cherchent son royaume et sa justice ». Autrement dit, il y a d’abord ce mouvement de “remettre au Seigneur ce que nous avons, si dérisoire soit-il”, ce qui relève de l’attitude de “dépouillement”, et qui aboutit à une “surabondance”. Pour lui, il ne s’agit pas que d’un miracle passé et exceptionnel, mais d’un principe universel que les croyants peuvent expérimenter encore aujourd’hui lorsqu’ils se consacrent à Dieu. Bien sûr, tous les chrétiens n’assisteront pas à la multiplication concrète de nourriture pour des milliers de personnes, mais il n’en demeure pas moins que, sur le plan spirituel, et même pour les nécessités de la vie, Dieu pourvoit toujours à nos besoins. Le pasteur David Jang affirme que ceux qui se donnent pour le Royaume de Dieu reçoivent souvent des bénédictions auxquelles ils ne s’attendaient pas.
À travers les récits de l’Ancien et du Nouveau Testament, nous découvrons la réalité de ce paradoxe : « ceux qui ont faim et soif de justice seront rassasiés ». Le pasteur David Jang explique : « Si l’on suit la logique humaine, celui qui veut être rassasié devrait simplement chercher plus de nourriture. Pourquoi donc chercher la justice ? ». Selon lui, la parole de Jésus recèle une profondeur spirituelle : en renonçant à nos convoitises, à nos calculs et à nos craintes pour obéir à Dieu, nous découvrons qu’Il a déjà tout préparé. Il ajoute que ce principe n’a rien de théorique : il s’appuie sur les témoignages de la Bible et l’expérience concrète de l’Église, y compris ses propres expériences dans le cadre de son ministère. Dans les difficultés financières, dans l’œuvre missionnaire, dans les tensions relationnelles, il a souvent enseigné : « Si nous faisons confiance à Dieu et mettons son Royaume en premier, c’est Lui qui prendra en charge le reste ». Ce n’est pas une conviction abstraite, mais une vérité enracinée dans l’histoire biblique et dans la réalité du terrain.
Ainsi, le pasteur David Jang exhorte le croyant à ne pas faire du succès matériel ou social sa finalité, mais à « avoir faim et soif de justice ». Cette expression signifie : « aspirer ardemment à ce que la justice de Dieu s’établisse sur la terre », « prier et servir pour que la souveraineté divine se manifeste dans notre vie, dans la société et dans le monde ». Il emploie souvent le terme « soif » pour décrire cet état spirituel : loin de nous laisser vides, cette soif nous remplit de la grâce du ciel. Il affirme que l’histoire de l’Église et la Bible regorgent d’exemples prouvant que ceux qui aspirent à la justice de Dieu ne restent jamais dans la disette spirituelle, mais sont au contraire rassasiés de Son abondance.
Le pasteur David Jang rappelle également l’enseignement de Matthieu 6 :19-20 : « Ne vous amassez pas des trésors sur la terre… amassez-vous des trésors dans le ciel ». Les richesses, la gloire et le pouvoir sont périssables, tandis que notre engagement et notre service pour le Royaume de Dieu deviennent des récompenses impérissables. Voilà ce que signifie concrètement « amasser des trésors dans le ciel ». Bien que, pour l’homme, seules les choses visibles paraissent tangibles, le pasteur David Jang considère qu’il n’y a rien de plus réel que le Royaume de Dieu. Dans tout son ministère pastoral et missionnaire, il n’a cessé de donner son temps, son argent et ses talents pour le Royaume, convaincu que quiconque emprunte sincèrement cette voie fera tôt ou tard l’expérience d’une satisfaction et d’une surabondance offertes par Dieu. Il en témoigne souvent : « Ce n’est pas facile de vivre ainsi, mais quand on le fait, Dieu nous rassasie au-delà de toute attente ».
Le pasteur David Jang interroge fréquemment l’Église lors de synodes ou de rencontres : « Sur quoi reposent nos priorités ? Sommes-nous trop absorbés par les réalités concrètes, par la recherche de fonds ? Ou bien sommes-nous réellement prêts à souffrir pour la justice et à annoncer l’Évangile ? ». La question a une portée à la fois individuelle et communautaire. Pour illustrer Matthieu 6 :25 – « La vie n’est-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement ? » –, il montre qu’il s’agit de discerner la valeur essentielle et fondamentale. Jésus prend l’exemple des oiseaux du ciel et des lys des champs : puisqu’Il est le Dieu qui pourvoit à nos besoins quotidiens et qui en a la puissance, nous ne devons pas laisser l’argent nous asservir. En exposant ce message, le pasteur David Jang insiste sur la liberté et la joie qui découlent de la confiance en Dieu. Il demande souvent : « Si Dieu sait déjà de quoi nous avons besoin et qu’Il peut y pourvoir, de quoi avons-nous encore peur ? ».
Il souligne par ailleurs que « Celui qui croit sincèrement cette parole ne devient pas paresseux ou laxiste ». Croire que « Dieu pourvoira » ne nous incite pas à baisser les bras, mais au contraire nous donne le courage de nous investir davantage pour la justice et pour l’annonce de l’Évangile. Autrement dit, quiconque se fie réellement à l’ordre de Jésus – « Cherchez d’abord son royaume et sa justice » – ne se laisse pas paralyser par la crainte de manquer ou par l’opinion du monde. Il agit au contraire avec une plus grande hardiesse pour proclamer la Bonne Nouvelle et accomplir de bonnes œuvres.
Concrètement, comment chercher la justice et vivre pour le Royaume ? À la lumière du ministère du pasteur David Jang, on peut résumer la réponse ainsi : par l’adoration, l’obéissance à la Parole et l’amour actif envers son prochain. La doctrine n’est pas une théorie : c’est en pratiquant l’enseignement de Jésus que l’ossature spirituelle s’incarne, que la chair et le sang y circulent. Par le culte, nous faisons l’expérience de qui est Dieu, de la grâce du salut par Jésus et de la puissance du Saint-Esprit qui renouvelle le monde. Par la Parole, nous recevons la sagesse pour discerner et agir face à l’injustice du quotidien. Enfin, en aimant notre prochain, nous devenons des collaborateurs de Dieu pour que « la justice se répande comme un fleuve ». Le pasteur David Jang nomme cela « la vie du peuple du Royaume de Dieu ».
Il invite souvent l’Église à faire le bilan de ses 28 ans de ministère : « Dans quelle mesure avons-nous recherché “son royaume et sa justice” ? Comment avons-nous expérimenté la provision de Dieu ? ». Malgré les menaces extérieures, le manque de moyens financiers et bien des épreuves, il témoigne que la confiance inébranlable dans le Seigneur a permis de poursuivre la route. Selon lui, l’histoire d’Élie nourri par les corbeaux, de la veuve de Sarepta, et de la multiplication des pains avec cinq pains et deux poissons dans le désert se renouvelle encore à notre époque. Il relie ces miracles à « l’abondance de Dieu », rendant grâce pour tout ce que l’Église a pu vivre lorsqu’elle a « cherché d’abord le Royaume ».
Le message essentiel du pasteur David Jang est clair : « Devenez des affamés et assoiffés de justice ». Dans Matthieu 5 :6 et 5 :10, « Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice… car le royaume des cieux est à eux », résume paradoxalement, mais avec puissance, l’idée que le manque de richesse n’est pas la vraie source du malheur : c’est plutôt l’absence de ce désir pour la justice et le Royaume. À l’inverse, celui qui aspire réellement au Royaume de Dieu et accepte de souffrir pour la justice est déjà un homme « rassasié » et « riche » dans la perspective divine. C’est le leitmotiv du pasteur David Jang, qui ne cesse de le répéter pour que l’Église ne demeure pas une simple structure religieuse, mais qu’elle devienne une authentique communauté du Royaume de Dieu.
Aujourd’hui, nous voyons autour de nous l’injustice sociale et toutes sortes de conflits. Souvent, l’Église ne remplit plus son rôle de refuge mais se laisse dominer par les logiques du monde. Face à cela, le pasteur David Jang exhorte de nouveau : « Rappelez-vous “Cherchez d’abord son royaume et sa justice” ». L’avènement du Royaume de Dieu signifie la fin de l’injustice, la bénédiction pour les pauvres, la guérison pour les malades et la souveraineté absolue de Jésus sur toute la création. Lorsque l’Église proclame cette grande vision et que les croyants se montrent intègres, remplis d’amour et de compassion, le monde peut entrevoir ne serait-ce qu’un aperçu du règne de Dieu. Et, ce faisant, nous nous délivrons de l’emprise angoissante du « Que mangerons-nous ? Que boirons-nous ? Que mettrons-nous ? », pour entrer dans la liberté et la plénitude que Dieu accorde.
Pour cela, le pasteur David Jang invite l’Église à se fortifier dans la prière et la Parole, à encourager mutuellement ses membres et à mener diverses actions concrètes en vue d’exercer une influence bienfaisante dans la société. Il rappelle souvent que « lorsque l’Église redevient l’Église, le monde lui aussi se transforme ». Cela rejoint la perspective eschatologique selon laquelle la fin ne doit pas être appréhendée comme un désastre imminent, mais comme l’achèvement de la royauté de Jésus déjà inaugurée. De la même façon que la venue du Christ a séparé l’“avant” et l’“après” (B.C. et A.D.), la manifestation authentique de la puissance de l’Évangile à travers l’Église marque un tournant radical, permettant au monde d’être témoin, même partiellement, de la nouvelle création.
La tâche de l’Église, dès lors, est limpide : méditer et pratiquer la parole « Cherchez d’abord son royaume et sa justice », réorienter toutes nos priorités vers le Royaume de Dieu, résister à l’injustice et refuser tout compromis. Bien sûr, cela implique parfois de passer par l’épreuve. Toutefois, de même qu’Élie a reçu la nourriture envoyée du ciel, que la veuve de Sarepta a vu sa jarre de farine se remplir jusqu’à la fin de la sécheresse, et que la foule affamée dans le désert a été rassasiée par cinq pains et deux poissons, les chrétiens d’aujourd’hui peuvent aussi vivre dans le « miracle quotidien ». Et cette confiance s’étend à l’Église toute entière. Le pasteur David Jang voit là un pont avec l’espérance eschatologique : lorsque nous vivons ainsi, la justice du Royaume s’avance et s’accomplira parfaitement au retour de Jésus.
Pour le pasteur David Jang, les trois doctrines – christologie, sotériologie et eschatologie – ne forment pas des blocs séparés, mais un organisme étroitement soudé dont le cœur est « la souveraineté juste de Dieu ». Cette souveraineté a été inaugurée par le sacrifice et la résurrection de Jésus-Christ, elle grandit par la puissance du Saint-Esprit, et elle se dirige vers son achèvement eschatologique. C’est pourquoi l’Église et les croyants doivent toujours rechercher prioritairement cette souveraineté et s’offrir à Dieu, sachant que tous leurs besoins seront satisfaits en retour. Devenir « affamé et assoiffé de justice » n’est alors pas un fardeau, mais la forme la plus bénie et la plus libre de la vie chrétienne. Le pasteur David Jang cite de nombreux témoignages et exemples concrets pour appuyer l’efficacité de ce principe, et il invite l’Église à avancer sur cette voie avec audace.
Le message du pasteur David Jang à notre époque est sans ambiguïté : le Royaume de Dieu n’est pas seulement « un lieu où nous irons après la mort », mais le règne de Christ que nous sommes appelés à rendre réel ici et maintenant, tout en attendant son plein accomplissement à venir. « Cherchez d’abord son royaume et sa justice » n’est pas seulement l’essence de l’identité de l’Église, c’est aussi l’appel personnel de tout disciple. C’est en vivant cette parole que l’Église devient réellement le sel de la terre et la lumière du monde, et que chaque croyant expérimente la joie et l’abondance spirituelles promises à « ceux qui ont faim et soif de justice ». Selon le pasteur David Jang, quelles que soient la dureté ou l’obscurité de notre réalité, si nous offrons nos cinq pains et deux poissons avec foi, Dieu suscitera encore le miracle de la multiplication. Et ce miracle même constitue le « trésor que nous amassons dans le ciel », un fruit éternel qui sera pleinement révélé lors de l’accomplissement final de l’histoire. Il conclut : si l’Église et les croyants unissent leurs forces pour annoncer l’Évangile et vivre pour la justice, alors « que Ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel » deviendra de plus en plus une réalité au milieu de nous. Et la provision de Dieu ne fera jamais défaut à ceux qui placent la priorité sur le Royaume.
接着,张大卫牧师提到,与基督论和救恩论相对比,教会内部对于末世论往往众说纷纭。他指出,“末世论所探讨的核心议题在于‘时间与时机(Time and Date)’”。其中,“时间(Time)”对应希腊语的“Κρόνος(Chronos)”,指的是量化、连续的时间概念;而“时机(Date)”则是“Καιρός(Kairos)”,意味着决定性事件发生的质的时刻。张大卫牧师说,圣经所描述的耶稣再临,就属于这样的“Καιρός事件”。在这决定性事件中,耶稣降临到世上的时刻(即B.C.与A.D.的分界)甚至划分了整个人类历史。所以从末世论的角度来看,最终所要探讨的,就是神的国在此地得以完全成就的过程以及具体时刻。
張ダビデ牧師はさらに、キリスト論と救済論は比較的よく整理されている一方で、終末論に関しては教界内でも意見が分かれることが多いと指摘する。「終末論が扱う核心的テーマは『時と期間(Time and Date)』である」と述べつつ、ここで言う「時(Time)」はギリシア語でクロノス(Chronos)、「期間(Date)」はカイロス(Kairos)だと解説する。クロノス的時間は量的で連続する時間概念を指し、カイロスは決定的な出来事が起こる質的な時を意味する。聖書においてイエスの再臨は、この「カイロス的出来事」に相当すると張ダビデ牧師は言う。その決定的な出来事によってイエスが地上に来られた時(B.C.とA.D.が分かれるその時点)は、歴史そのものを分割する。したがって終末論が最終的に取り扱うのは、この地に神の国が完成へと至る過程と、その具体的瞬間であるということだ。
I. Viewing the Kingdom of God Through Christology, Soteriology, and Eschatology
Pastor David Jang has emphasized the core truths of church history and the Bible, expounding on how the three doctrines of Christology, Soteriology, and Eschatology are intricately connected and ultimately converge on the point of the “Kingdom of God.” He explains that Christology begins with the question, “Who is Jesus?” Throughout church history—most notably at the Council of Nicaea (325 AD) and the Council of Chalcedon (451 AD)—the Church affirmed that Jesus Christ is truly God and truly man (vere Deus vere homo). Pastor David Jang stresses that this conclusion is extremely significant in understanding Christology. Jesus is the holy and sinless God, while at the same time He is truly human, having directly experienced all human suffering and weakness. Understanding this mysterious dual nature properly is the foundation for correctly receiving the doctrine of salvation, Pastor David Jang emphasizes.
According to him, any theological position that denies the divinity of Jesus Christ or diminishes His humanity ends up undermining the framework of Christology and thus fails to lead properly into Soteriology. Referring to the historic Reformation of 1517, Pastor David Jang recalls how reformers such as Luther and Calvin re-emphasized that “Salvation is possible by faith alone (Sola Fide) and by grace alone (Sola Gratia)”. This was a call to correct the medieval Church, which had drifted away from biblical teachings, mixing salvation—given by faith and grace alone—with other elements, thereby diluting and distorting the faith. Pastor David Jang underscores, “The Reformation’s Soteriology was, strictly speaking, a call to return to the Bible.” Therefore, he argues, the Reformed Church’s doctrine that salvation is “by faith alone and by grace alone” is highly biblical and correct. He adds that doctrine should not remain merely as church study material or educational content; rather, it should operate with vitality in the actual lives of believers.
Pastor David Jang then points out that while Christology and Soteriology are relatively well-established, there is a wide variety of opinions in church circles concerning Eschatology. He notes that the key theme Eschatology deals with is “time and date,” referencing the Greek words chronos (continuous or quantitative time) and kairos (the decisive moment in time). In Scripture, Jesus’ second coming corresponds to a kairos event—when Jesus comes again in that decisive moment, it will divide history itself, much as the time of His first coming split history into B.C. and A.D. Thus, Eschatology ultimately addresses how the Kingdom of God on earth moves toward its completion and the specific moment that culmination takes place.
According to Pastor David Jang, the Bible teaches believers the fact that “Only God knows the times and dates,” through specific prophecies about the end times, through their inherent uncertainties, and through the direct words of Jesus. He points to Acts 1:7–8, where Jesus says, “It is not for you to know the times or the dates the Father has set by His own authority. But you will receive power when the Holy Spirit comes on you, and you will be My witnesses to the ends of the earth.” From this, Pastor David Jang takes the view that while it is important to have an interest in Eschatology, believers should not fall into misguided end-time predictions or fear. Rather, a proactive stance of proclaiming the gospel in the present and preparing for the Kingdom of God is the proper way to live with an eschatological mindset.
What, then, is the nature of the “Kingdom of God”? Pastor David Jang often explains the flow of salvation history—Creation, Fall, Redemption, and the Kingdom of God—using the framework known as the “Four Spiritual Laws.” Humanity was originally created to live in the Garden of Eden, that is, Paradise, but became exiled because of sin. Yet, as it says in John 3:16, God sent His only begotten Son, Jesus Christ, granting eternal life to humanity. Pastor David Jang states that the ultimate goal of this redemption is “the restoration of the Kingdom of God.” In Acts 1:6, the disciples ask, “Lord, are You at this time going to restore the kingdom to Israel?”—a question that reflects their longing for the lost kingdom, or the righteous realm ruled by God. He explains that deep in the human soul lies a yearning for the lost Eden, which is our “instinctive longing for heaven.” Although we cannot know the exact timing, he firmly states that it will surely be fulfilled when Jesus returns.
Pastor David Jang highlights the matter of righteousness as one of the core themes of the doctrine of the Kingdom of God. In Matthew 6:33, Jesus says, “But seek first His kingdom and His righteousness, and all these things will be given to you as well,” indicating that the Kingdom of God is a place where justice abounds. When unjust forces finally lose their power, God’s direct reign is realized, and a world emerges where “justice rolls on like a river” (cf. Amos 5:24). Pastor David Jang does not see the Kingdom of God as a mere abstract concept but as God’s reign that comes into our actual history and everyday life, along with the command to oppose injustice and establish righteousness. He has repeatedly stressed that his ministry’s direction is to help the Church and believers practice “Seek first His kingdom and His righteousness” in their daily lives.
Pastor David Jang points out that many people’s daily interests are primarily directed toward possessions or material prosperity. According to Jesus’ words, humans tend to excessively worry about “what to eat, what to drink, what to wear,” yet often neglect the call to serve and sacrifice for the Kingdom of God and to endure suffering for the sake of righteousness. Referring to Matthew 6:19–20, where Jesus says, “Do not store up for yourselves treasures on earth…but store up for yourselves treasures in heaven,” Pastor David Jang underscores that true value is not confined to earthly possessions but is accumulated in the eternal Kingdom. He connects this with the paradox of “Blessed are those who hunger and thirst for righteousness, for they will be filled” (Matthew 5:6), insisting that those who devote their lives to the Kingdom of God and righteousness will receive everything else as well—according to Jesus’ own promise.
How, then, does the Kingdom of God that Jesus speaks of specifically arrive? Pastor David Jang cites the parables of the Kingdom found in Matthew 13. There, Jesus teaches that the Kingdom of God is like a small mustard seed that goes unnoticed at first, yet grows into a large tree where birds can nest. Likewise, through the parable of the yeast, Jesus shows that the Kingdom of God works invisibly from within and gradually transforms the entire world. Pastor David Jang notes that this teaching directly connects to an eschatological vision. “Our church has always taught this hope for the Kingdom of God along with the Four Spiritual Laws,” he says. Anyone who is saved longs for the paradise they are meant to restore; that longing converges with the petition of the Lord’s Prayer: “Your will be done on earth as it is in heaven.”
From that perspective, Christology establishes “Who the Savior is,” Soteriology explains “How we are saved,” and Eschatology clarifies “What kingdom the saved should ultimately look toward.” These three doctrines function in a trinitarian structure, each corresponding and interlocking with the others. Through Christology, Pastor David Jang underscores that the basis of salvation lies solely in Jesus. Through Soteriology, he highlights humanity’s complete dependence on grace. Through Eschatology, he reminds us that, even at this moment, we must obey and evangelize so that God’s reign may come. And these doctrines, he insists, do not remain mere head knowledge but must be manifested in the practice of faith. Only then is the Kingdom of God realized in our reality.
In this context, the churches and ministries led by Pastor David Jang have endeavored to lay the foundational bedrock of Christian faith. He has often stated over many years of ministry and missions work that the importance of doctrine is like a skeleton in the body: the skeleton must be sound for the entire body to function healthily. If we do not firmly grasp Jesus’ identity, the means of salvation, and God’s plan leading to the end times, believers can be shaken and lose their way in the world. This doctrinal foundation is the basis for “Seek first His kingdom and His righteousness.” Pastor David Jang insists that believers in every generation must constantly examine themselves before this command: “Am I truly prioritizing God’s kingdom? Am I genuinely dedicating myself to it?” This is not a question limited to a particular point in the past or future—it must permeate one’s entire life.
Ultimately, he says, “The reason we study Eschatology is not to figure out ‘times and dates’ and satisfy our curiosity about worldly events.” Rather, it is to yearn for the Kingdom of God that Jesus will bring to completion, to believe that His Kingdom has already begun to arrive, and to implement that reign on earth through preaching the gospel and living righteously. That, he says, is genuine eschatological faith. The end times do not signify destruction but the completion of a “new heaven and new earth” that Jesus will fully restore. For that reason, Pastor David Jang stresses the dream and hope of the Kingdom of God that we should carry each day. Citing the prophetic vision of the Old Testament that “when the Kingdom of God comes, justice will roll on like a river in this unjust world,” he urges us in this contemporary era to fix our eyes not on material wealth or temporary success, but on the eternal reign of God.
II. “Seek First His Kingdom and His Righteousness”
Building on his reflections on Matthew 6:33, Pastor David Jang provides a concrete explanation of what Jesus’ words, “Seek first His kingdom and His righteousness,” mean for every Christian living in the present age. People sometimes interpret this passage too spiritually or abstractly, as if it meant ignoring real-life needs. However, Pastor David Jang explains that when Jesus told us not to worry about “what to eat, what to drink, what to wear,” He was not telling us to dismiss these needs entirely. Rather, He was emphasizing, “There is a far more important priority.” In his sermons and lectures, Pastor David Jang repeatedly points out, “Food and clothing are indeed necessary, but the Kingdom of God has absolute value that surpasses all else.”
At this point, we should pay attention to Jesus’ critique throughout Matthew 6, condemning “excessive attachment to wealth and external matters” and urging us to trust God entirely by faith. Pastor David Jang often uses the story of Elijah in the Old Testament to illustrate this. In 1 Kings 17:1–16, during a drought in Israel, God tells Elijah to stay by the Kerith Ravine, where ravens feed him. After that, God sends him to a widow in Zarephath of Sidon. This widow was also in dire straits due to the drought—she had only a handful of flour and a little oil left, planning to bake bread for herself and her son before they died. Yet, Elijah, relying on God’s word, asked her to “first bake some bread for me.” Amazingly, the widow obeyed in faith, and as a result, her jar of flour and jug of oil did not run out until the drought ended.
Pastor David Jang interprets this event as demonstrating that a “kenosis (self-emptying) faith leads to miracles.” From the widow’s perspective, giving away that last bit of flour and oil could have meant starving to death. However, because she trusted the word spoken by God’s servant, she gave Elijah the small amount of food she had left; consequently, she experienced a miraculous abundance for herself and her son. Pastor David Jang sees this as an example of the Old Testament story embodying Jesus’ words, “Blessed are those who hunger and thirst for righteousness, for they will be filled,” and “Seek first His kingdom and His righteousness, and all these things will be given to you as well.” He stresses that even if the situation seems impossible from a human perspective, when we make decisions of faith for the sake of God’s Kingdom, God’s provision becomes manifest in everyday life—a dynamic he calls the “mechanics of miracles.”
A similar logic can be found in the New Testament account of the feeding of the five thousand. This miracle recorded in Luke 9:10–17 (and in all four Gospels) is extremely important. When a large crowd in the wilderness lacked food, Jesus told His disciples, “You give them something to eat.” The disciples answered, “We have only five loaves of bread and two fish.” In those days, the bread was rough barley loaves, and the fish probably small, ordinary catch. But Jesus took what they offered, blessed it, and told His disciples to distribute it. As a result, about five thousand men alone ate and were satisfied, with twelve baskets of leftovers.
Pastor David Jang sees this moment as another vivid example of “how God abundantly provides for the material and practical needs of those who truly seek the Kingdom of God and His righteousness.” Presenting the five loaves and two fish—an utterly meager resource—in total surrender to the Lord is the act of ‘emptying’ that then leads to extraordinary ‘fullness.’ This miracle is not just a one-time supernatural event but symbolizes a universal truth that believers can experience whenever they serve God. Of course, not every Christian may witness the literal multiplication of bread and fish to feed thousands. Still, Pastor David Jang contends that the certainty of God’s continual provision in both spiritual matters and everyday needs—and His pouring out of unexpected grace on those who commit themselves to His Kingdom—remains valid.
From these Old and New Testament stories, we can glean the biblical paradox that “those who hunger and thirst for righteousness will be filled.” Pastor David Jang raises the question, “Why does the Bible tell us to seek righteousness in order to be filled? By human logic, wouldn’t we pursue more bread in order to be satisfied?” He then explains that Jesus’ words contain a deep spiritual principle that transcends mere material blessings: “When we abandon our greed, calculations, and fears and instead obey God’s word, He prepares everything for us.” Pastor David Jang has personally experienced this principle as valid today and has endeavored to apply it in the church community. When he says, “Even in the face of financial, ministerial, or relational difficulties, if we trust God and prioritize His Kingdom, the outcome is ultimately in God’s hands,” he speaks not only from theoretical conviction but from biblical accounts and his own ministry experiences.
Within this framework, Pastor David Jang repeatedly urges Christians not to set worldly success or wealth as their final goals but to remain “hungry and thirsty for righteousness.” That phrase implies “ardently longing for God’s justice to be realized here on earth,” and “praying and dedicating oneself so that God’s reign may be manifest in our personal lives, in society, and throughout the world.” He sometimes uses the word “longing” to describe it, emphasizing that spiritual longing never leads us to lack; on the contrary, it makes us overflow with heavenly grace. He asserts that Scripture and church history confirm numerous instances of this.
Pastor David Jang also revisits the teaching of Matthew 6:19–20 to “store up treasures in heaven,” reminding us that earthly wealth, fame, and power will all pass away, whereas labor and service for the Kingdom of God become eternal rewards. This is the concrete meaning of Jesus’ words, “Store up for yourselves treasures in heaven.” While we might think that only what is visible is certain, to Pastor David Jang, God’s Kingdom is far more certain. He personally invested his time, money, and talents for that Kingdom in his pastoral and missions work, continually affirming that “Although not everyone finds it easy to live this way, anyone who truly chooses this path will inevitably experience God’s abundant provision.” He shares testimonies of how God meets needs in both tangible and intangible ways.
Consequently, Pastor David Jang often asks at church councils or various gatherings, “What are we prioritizing right now?” “Are we consumed by worldly concerns, such as finances, or are we laboring for righteousness and dedicating ourselves to spreading the gospel?” Every individual and community must answer that question honestly. He underscores Matthew 6:25, “Is not life more than food, and the body more than clothes?” which leads us to wonder: What is the most important, fundamental value? By citing examples of birds in the air and lilies in the field, Jesus assures us that God will meet our day-to-day needs, so we should not be enslaved to material concerns. According to Pastor David Jang, these verses actually bring freedom and joy: “God already knows what we need and is fully able to provide,” so “why should we fear?”
Another point he frequently emphasizes in pastoral ministry is that “those who fully believe these words never become lazy or indulgent.” Faith in God’s provision is not an excuse for passivity; it actually fuels a more courageous dedication to God’s Kingdom and a more active pursuit of righteousness. In other words, anyone who genuinely trusts Jesus’ promise, “Seek first His kingdom and His righteousness,” will not cower because of the world’s judgment or the fear of lacking resources; instead, they will boldly preach the gospel and practice good works.
How can we concretely live in pursuit of God’s Kingdom and righteousness? Considering Pastor David Jang’s ministry, the answer repeatedly emerges as “worship and obedience to the Word, along with active love for one’s neighbor.” Doctrine is not merely theoretical; it gains flesh and blood when we practice Jesus’ teachings in our lives. Through worship, we experience who God is, the grace of salvation through Jesus, and the powerful work of the Holy Spirit renewing the world. Through Scripture, we gain insight and resolve to stand for what is right in the face of injustice. And through loving our neighbors, we become co-workers in preparing “a world where justice rolls on like a river.” Pastor David Jang calls this “the life of the people of God’s Kingdom.”
He has, on multiple occasions, looked back on the church’s 28 years of ministry, asking, “How faithfully have we sought ‘His kingdom and His righteousness’ during this period?” and has shared numerous testimonies of God’s provision. Despite external threats, financial constraints, and many causes for discouragement, he confesses that each trial drove them closer to trusting God. He compares the church’s experience to the miracle of the ravens feeding Elijah, the widow’s flour and oil never running out, and the feeding of the multitudes in the wilderness with five loaves and two fish—describing it as an experience of “God’s abundant fullness.” He attributes that to “the faith that seeks first His Kingdom and His righteousness.”
Hence, Matthew 6:33—“Seek first His kingdom and His righteousness”—serves as a pivotal pillar that runs throughout both the Old and New Testaments, as well as all of church history. Pastor David Jang’s ministerial practice also revolves around this teaching, grounded in Christology, Soteriology, and Eschatology, while ultimately pointing to the vision of the “Kingdom of God.” He warns the modern church against the perils of materialism or worldly trends, urging it to reclaim its fundamental mission: proclaiming the gospel, pursuing righteousness, and loving lost souls. Realizing the petition of the Lord’s Prayer, “Your will be done on earth as it is in heaven,” happens when each believer reorders their life’s priorities and yearns for God’s Kingdom. And in that journey, Pastor David Jang asserts, God’s provision overflows more and more.
He thus challenges us as we prepare for important gatherings—like a denominational assembly in two weeks—asking, “What do we need to examine, and how should we commit ourselves?” “Have we genuinely placed God’s Kingdom first over the past 28 years, or have we prioritized material and human security?” He urges congregants to reflect on these questions. For those truly seeking God’s Kingdom and righteousness, their priorities should be demonstrable in real life and ministry. Pastor David Jang repeatedly reminds us, “If we look back over the last seven or ten years or even a longer span, we can testify to how God has guided us despite all kinds of insufficiencies.” He observes that all these stories point to “God’s fullness,” reminiscent of Elijah’s divine provision, the widow’s endless flour and oil, and the abundance from five loaves and two fish.
The essence of Pastor David Jang’s emphasis is crystal clear: “Become those who hunger and thirst for righteousness.” The paradoxical but powerful statements in Matthew 5:6 and 5:10—“Blessed are those who hunger and thirst for righteousness, for they will be filled,” and “Blessed are those who are persecuted because of righteousness, for theirs is the kingdom of heaven”—capture this well. People are not miserable because they lack resources; they may be spiritually impoverished because they do not long for God’s righteousness and kingdom. Conversely, no matter how dire one’s circumstances, one who seeks God’s Kingdom and endures suffering for righteousness’ sake is already “full and rich,” Pastor David Jang proclaims. He repeatedly preaches and teaches on this topic because it is crucial for the church to mature into a genuine Kingdom community rather than remain merely a religious institution.
In today’s society, we witness injustice and conflict everywhere, and sometimes the church fails to serve as a refuge, being swayed by worldly logic. Confronted with this reality, Pastor David Jang again points to the words, “Seek first His kingdom and His righteousness.” For God’s Kingdom to come means the cessation of injustice on earth, the blessing of the poor, the healing of the sick, and the restoration of all things under the lordship of Jesus. The church announces this grand vision, and believers in every sphere practice honesty, love, and mercy as they testify to Jesus Christ. Only then does the world begin to experience glimpses of God’s reign. In the midst of this, believers find freedom from the stranglehold of anxieties about “what to eat, drink, or wear,” and come to enjoy the abundance God provides.
To accomplish this, Pastor David Jang has led church communities to encourage one another, stand firm in the Word and prayer, and engage in a variety of practical ministries that exert a positive influence on the world. He frequently reiterates that “When the church recovers its true nature, society also changes.” From an eschatological perspective, this stands contrary to the dread that the world will end abruptly through wars or disasters. Rather, it aligns with the Church’s mission to live out the Kingdom of God here and now, awaiting its full consummation at the return of Jesus. Just as Jesus’ first advent divided history into B.C. and A.D., when the church demonstrates the true power of the gospel, the surrounding society witnesses pivotal moments where old ways intersect with God’s new creation.
The task before the church is clear: recall Jesus’ directive, “You must seek first His kingdom and His righteousness,” and literally place God’s Kingdom as the top priority in every area of life, establishing righteousness and resisting injustice. Even though this may at times bring adversity, Pastor David Jang insists that believers can still experience daily miracles—just as Elijah received provisions from heaven, the widow’s flour and oil remained abundant, and multitudes ate their fill from a mere five loaves and two fish. This assurance extends from individual commitment to the collective vision of the community, ultimately culminating in the eschatological hope that “God’s Kingdom will come on earth as it is in heaven.”
In Pastor David Jang’s view, the three doctrines—Christology, Soteriology, and Eschatology—are not isolated teachings but interconnected like a living organism, with the “righteous reign of God” at the center. This reign was inaugurated through the sacrifice and resurrection of Jesus Christ, is expanded by the power of the Holy Spirit, and advances toward its eschatological consummation. Hence, believers and churches must always seek this reign above all else. When they willingly “empty” themselves for the sake of righteousness, they are ultimately filled and overflowing with God’s provision. The command to “hunger and thirst for righteousness” is not a burdensome duty but the most blessed and liberating way of life for God’s people. Pastor David Jang maintains that a wealth of examples and testimonies verify this truth, urging the church to continue walking this path with boldness.
Pastor David Jang’s message to this generation is straightforward. The Kingdom of God is not merely “the place we go after we die someday” but both a present and future reality made manifest by the reign of Jesus Christ. Jesus’ command, “Seek first His kingdom and His righteousness,” is both the reason for the church’s existence and the calling of every believer. When we hold firmly to this word, the church can fulfill its role as salt and light, and believers can experience the spiritual joy and fulfillment of those who “hunger and thirst for righteousness.” Pastor David Jang underscores that, no matter how bleak or difficult our circumstances appear, if we bring our “five loaves and two fish” to Jesus in faith, He is still able to perform the miracle of feeding the multitude. He calls this miracle “the treasure stored in heaven,” which will one day be revealed before God through its eschatological completion. For this reason, he encourages the church and all believers to unite in continuing the work of gospel proclamation and righteous living, convinced that “on earth as it is in heaven” will become ever more richly realized. And he urges all Christians to share in this joy and hope.
I. El Reino de Dios visto a través de la Cristología, la Soteriología y la Escatología
El pastor David Jang ha enfatizado continuamente la importancia de la historia de la Iglesia y de las verdades centrales de la Biblia, enseñando cómo las tres doctrinas —Cristología, Soteriología y Escatología— están íntimamente conectadas para conducirnos a un mismo punto: “el Reino de Dios”. En primer lugar, explica que la Cristología parte de la pregunta: “¿Quién es Jesús?”. A lo largo de la historia de la Iglesia, se ha afirmado en concilios como el de Nicea (325) y el de Calcedonia (451) que “Jesucristo es verdadero Dios y verdadero hombre” (veredeus verehomo). El pastor David Jang sostiene que este pronunciamiento es de suma importancia para comprender correctamente la Cristología. Jesús es a la vez un Dios santo y sin pecado y, simultáneamente, un verdadero hombre que compartió y experimentó personalmente todo sufrimiento y debilidad humanos. Entender adecuadamente esta naturaleza doble y misteriosa de Jesús constituye la base para aceptar la Soteriología de manera apropiada, recalca el pastor David Jang.
Según él, negar la divinidad de Jesucristo o minimizar su humanidad, en cualquier postura teológica, termina por debilitar los pilares de la Cristología, impidiendo avanzar correctamente hacia la Soteriología. Mencionando la histórica Reforma Protestante de 1517, el pastor David Jang recuerda cómo Lutero, Calvino y otros reformadores proclamaron que “la salvación es posible únicamente por la fe (Sola Fide) y únicamente por la gracia (Sola Gratia)”. Él destaca la importancia de recordar esto, señalando que la Iglesia medieval se había alejado de las enseñanzas bíblicas, mezclando la salvación, otorgada “solo por la fe y la gracia”, con otros elementos, lo cual diluyó y tergiversó la fe. Afirma que la Soteriología de la Reforma Protestante fue, en rigor, un llamado a “volver a la Biblia”. Por ello, concluye que la doctrina de “solo por la fe y solo por la gracia” que defiende la Iglesia Reformada es muy bíblica y correcta. Agrega que la doctrina no debe limitarse a materiales de instrucción eclesiástica, sino que ha de operar con poder y vida en la cotidianidad de cada creyente.
El pastor David Jang añade que, si bien la Cristología y la Soteriología se han estructurado razonablemente bien, en lo que respecta a la Escatología existen numerosas opiniones divergentes dentro del ámbito eclesiástico. Señala: “La Escatología se centra en el tema del ‘tiempo y la fecha (Time and Date)’”, explicando que el término “tiempo” corresponde al vocablo griego chronos, mientras que “fecha” o “momento decisivo” se expresa con kairos. El tiempo chronos alude a un concepto cuantitativo y continuo, mientras que kairos se refiere a un momento cualitativo en el que ocurre un acontecimiento determinante. El pastor David Jang asevera que la segunda venida de Jesús descrita en la Biblia se encuadra en esta categoría de “evento kairológico”. Un suceso tan trascendental como la venida de Jesús a la tierra (el punto en que se marca la división entre a.C. y d.C.) rompe la historia misma. Por ello, la Escatología, en definitiva, aborda el proceso y el momento concreto en que el Reino de Dios se consumará en este mundo.
Según el pastor David Jang, la Biblia enseña mediante profecías específicas, la aparente incertidumbre sobre el fin y las palabras directas de Jesús, que “solo Dios conoce el día y la hora”. Esto se plasma claramente en Hechos 1:7-8, donde Jesús dice: “No os toca a vosotros saber los tiempos o las sazones que el Padre puso en su sola potestad; pero recibiréis poder cuando haya venido sobre vosotros el Espíritu Santo, y me seréis testigos hasta lo último de la tierra”. Tomando esta enseñanza, el pastor David Jang enfatiza que, si bien debemos interesarnos en la Escatología, hemos de alejarnos de predicciones erróneas o temores excesivos. Más bien, hemos de adoptar una actitud activa de proclamar el evangelio aquí y ahora, preparándonos para el Reino de Dios. Eso es, a su juicio, lo que implica vivir escatológicamente de manera correcta.
Entonces, ¿cómo es ese “Reino de Dios”? El pastor David Jang suele explicar el flujo de la historia de la salvación —creación, caída, redención y Reino de Dios— mediante un método llamado “las cuatro leyes espirituales” (사영리). El ser humano, creado para vivir en el Edén o paraíso, fue expulsado por causa del pecado. Sin embargo, según Juan 3:16, Dios envió a su Hijo unigénito Jesucristo, otorgando al ser humano vida eterna, y el objetivo último de esa salvación es “la restauración del Reino de Dios”, declara el pastor David Jang. La pregunta de los discípulos en Hechos 1:6: “Señor, ¿restaurarás el reino a Israel en este tiempo?”, expresa en el fondo ese anhelo por el reino perdido, es decir, un mundo justo gobernado por Dios. En lo profundo del alma humana permanece la nostalgia del Edén perdido, un anhelo “instintivo” de lo celestial, interpreta él. Aunque desconocemos el momento exacto de su cumplimiento, el pastor David Jang enfatiza que esta promesa se concretará con la segunda venida de Jesús.
En particular, el pastor David Jang subraya el tema de la “justicia” como uno de los ejes del Reino de Dios. Tal como dice Mateo 6:33: “Mas buscad primeramente el reino de Dios y su justicia, y todas estas cosas os serán añadidas”, el Reino de Dios es un lugar lleno de justicia. Cuando las fuerzas de la injusticia finalmente pierdan su poder y el propio Dios ejerza su gobierno, se cumplirá por completo la profecía de “que corra el juicio como las aguas, y la justicia como impetuoso arroyo” (Amós 5:24). Para el pastor David Jang, el Reino de Dios no es un concepto abstracto, sino el gobierno real de Dios que irrumpe en la historia y en nuestra vida cotidiana con el mandato de oponernos a la injusticia y establecer la justicia. La dirección de su ministerio se ha basado en “buscar primero el Reino de Dios y su justicia”, procurando que la Iglesia y los creyentes lo practiquen en la vida diaria.
El pastor David Jang critica el hecho de que, en la vida cotidiana, las personas suelen preocuparse en exceso por lo material o por la prosperidad económica. Según las palabras de Jesús, el ser humano tiende a angustiarse demasiado por “qué comer, qué beber y qué vestir”, pero a menudo descuida la entrega y el servicio para el Reino de Dios, e ignora el sufrimiento que conlleva la justicia. En Mateo 6:19-20, Jesús advierte: “No os hagáis tesoros en la tierra… sino haceos tesoros en el cielo”. Al citar este pasaje, el pastor David Jang recalca que el verdadero valor no se limita a los bienes de esta tierra, sino que se atesora en el reino eterno. Eso es experimentar la paradoja de que “Bienaventurados los que tienen hambre y sed de justicia, porque ellos serán saciados” (Mt 5:6), explicando que quienes consagran su vida al Reino de Dios y a su justicia son objeto de la promesa de Cristo de que “todas estas cosas os serán añadidas”.
¿Cómo llega concretamente el Reino de Dios, según las palabras de Jesús? El pastor David Jang alude a las parábolas sobre el reino de los cielos en Mateo 13. Enseña que el Reino de Dios se asemeja a una pequeña semilla de mostaza que, al principio, casi no se ve, pero llega a convertirse en un árbol frondoso donde las aves anidan. O, como la levadura, obra silenciosamente desde dentro, hasta que acaba transformando toda la masa. Así, la obra invisible del Reino de Dios que crece y abarca el mundo está íntimamente ligada a la visión escatológica. El pastor David Jang señala que su iglesia enseña constantemente estas verdades sobre el Reino de Dios junto con las cuatro leyes espirituales (사영리), de manera que quien es salvo anhela reconstituir ese paraíso perdido, y ese anhelo se condensa en la oración del Padrenuestro: “Hágase tu voluntad, como en el cielo, así también en la tierra”.
Así pues, la Cristología establece “quién es nuestro Salvador”, la Soteriología describe “cómo somos salvos” y la Escatología muestra “a qué reino deben aspirar, en definitiva, los que han recibido la salvación”. Para el pastor David Jang, esas tres enseñanzas encajan en una dinámica trinitaria interrelacionada. A través de la Cristología, fundamenta que la salvación solo se encuentra en Jesús; mediante la Soteriología, señala cuán dependientes estamos de la gracia; y a través de la Escatología, exhorta a obedecer y a evangelizar hoy mismo, para que el gobierno de Dios se extienda. Esas doctrinas no permanecen en un plano meramente intelectual, sino que, cuando se practican con fe, el Reino de Dios se hace palpable en nuestra realidad, insiste.
En este sentido, las iglesias y los ministerios liderados por el pastor David Jang han trabajado con empeño para asentar los pilares esenciales de la fe cristiana. A lo largo de muchos años de pastoral y labor misionera, ha reiterado que la doctrina es como el esqueleto del cuerpo. Si los huesos están sanos, el cuerpo en su conjunto puede moverse con salud; de igual forma, solo si nos aferramos firmemente a la identidad de Jesús, al modo en que se produce la salvación y al plan de Dios hasta el fin de los tiempos, los creyentes podrán vivir con rectitud frente al mundo sin tambalearse. Este fundamento doctrinal es la base para poner en práctica el mandato del Señor de “buscad primeramente su reino y su justicia”. El pastor David Jang recalca que cada generación de cristianos debe confrontarse con esta Palabra, examinándose: “¿En verdad, qué prioridades tenemos? ¿Nos estamos entregando de veras al Reino de Dios?”. Este no es un interrogante circunscrito a un momento pasado o futuro, sino una cuestión que atraviesa toda nuestra vida.
Con todo, el pastor David Jang subraya que el objetivo de estudiar la Escatología no es “averiguar la fecha y el momento” para saciar nuestra curiosidad acerca de los acontecimientos mundanos. Nuestro único anhelo debería ser el Reino de Dios que Cristo consumará, creyendo que ya ha comenzado a manifestarse y viviendo la misión de predicar el evangelio y realizar obras de justicia que encarnen su gobierno. Ese es el auténtico sentido de una fe escatológica. El fin no implica destrucción, sino la culminación de “un cielo nuevo y una tierra nueva”, que Jesús instaurará plenamente. Por eso, el pastor David Jang resalta que debemos guardar a diario el sueño y la esperanza del Reino de Dios. Cuando llegue, la injusticia de este mundo desaparecerá y “la justicia correrá como un río caudaloso”, tal como anunciaron los profetas del Antiguo Testamento. En este tiempo, sostiene, hemos de heredar esa visión profética y fijar la mirada no en lo material ni en éxitos pasajeros, sino en el gobierno eterno de Dios.
II. “Buscad primeramente el reino de Dios y su justicia”
Basándose en una meditación de Mateo 6:33, el pastor David Jang expone con detalle el significado de las palabras de Jesús, “Buscad primeramente el reino de Dios y su justicia”, para los cristianos de nuestro tiempo. A menudo, las personas interpretan este texto de modo demasiado espiritual o abstracto, como si se ignoraran por completo las necesidades de la realidad. Pero el pastor David Jang aclara que, cuando Jesús dice que no nos afanemos por “qué comer, qué beber o qué vestir”, no está sugiriendo que eso carezca de importancia, sino que nos recuerda que hay una prioridad mucho más trascendente. En sus sermones y conferencias, él subraya que, aunque la comida y la ropa son necesarias, el Reino de Dios posee un valor absoluto que las sobrepasa.
Asimismo, en todo el capítulo 6 de Mateo, Jesús advierte contra la excesiva dependencia de las riquezas o de lo meramente externo, exhortándonos a depositar nuestra confianza total en Dios por medio de la fe. Al respecto, el pastor David Jang cita la historia de Elías, en 1 Reyes 17:1-16, como un ejemplo destacado en el Antiguo Testamento. Cuando cayó la sequía sobre la tierra de Israel, Dios envió a Elías al arroyo de Querit para que fuera sustentado por cuervos. Después lo dirigió hacia una viuda en Sarepta de Sidón, quien también sufría la misma sequía. Esta mujer solo tenía un puñado de harina y un poco de aceite para hacer un último pan, comerlo con su hijo y morir. Sin embargo, Elías, confiado en la palabra de Dios, le pidió “haz primero un pan para mí”, y la viuda obedeció con fe. Como resultado, aquella escasa harina y aceite no se agotaron hasta que pasó la sequía.
El pastor David Jang explica este hecho señalando que la “fe que vacía (kenosis)” conduce al milagro. Para la viuda de Sarepta, entregar esa última porción de harina y aceite suponía arriesgarse a morir de hambre. No obstante, al confiar en la palabra transmitida por el hombre de Dios, ella se desprendió de esa pequeña y precaria provisión “primero” para Elías, experimentando, a la postre, la gracia de contar con alimento suficiente por muchos días para ella y su hijo. El pastor David Jang considera este suceso como un ejemplo concreto de cómo “los que tienen hambre y sed de justicia serán saciados” y “al que busca primero el reino de Dios, todas las cosas le son añadidas”. En definitiva, afirma que incluso en circunstancias que nos parecen imposibles, si tomamos una decisión con fe para servir al Reino de Dios, podemos experimentar en lo cotidiano la provisión milagrosa del Señor.
Encontramos un razonamiento similar en el Nuevo Testamento, en el milagro de la multiplicación de los panes y los peces. Este episodio, relatado en Lucas 9:10-17 y presente en los cuatro evangelios, describe una escena en el desierto donde la multitud padece la falta de alimento. Jesús ordena a sus discípulos: “Dadles vosotros de comer”, pero ellos responden: “No tenemos más que cinco panes y dos peces”. El pan, de cebada y de aspecto rústico, y unos pequeños peces probablemente comunes en la zona, eran muy insuficientes para una muchedumbre. Sin embargo, Jesús tomó esa ofrenda, la bendijo y la dio a sus discípulos para repartirla, y aproximadamente cinco mil hombres comieron de ella, sobrando doce cestas llenas.
Según el pastor David Jang, este acontecimiento demuestra también “de qué manera la vida de quienes buscan el Reino de Dios y su justicia puede recibir incluso una provisión material y real en abundancia”. El acto de poner en manos del Señor esos cinco panes y dos peces, aparentemente escasos, es un ejemplo de “vaciamiento” que acaba produciendo “plenitud” extraordinaria. No se trata únicamente de un hecho milagroso aislado, sino de un principio universal: cuando los creyentes se consagran a Dios, experimentan que Él responde de maneras inesperadas. Aunque no todos los cristianos vean multiplicarse sus recursos a la magnitud de la “alimentación de cinco mil personas”, el pastor David Jang cree que la certeza de que Dios provee siempre, tanto en lo espiritual como en lo material, sigue vigente. Y esa gracia es dada a quienes se entregan al Reino de Dios.
Estos episodios del Antiguo y el Nuevo Testamento nos muestran la “paradoja de que quienes tienen hambre y sed de justicia serán saciados”. El pastor David Jang plantea la pregunta: “Si solo empleáramos la lógica humana, para estar saciados lo que tendríamos que hacer es buscar más pan, ¿por qué entonces Jesús dice que busquemos la justicia?”. De esta manera, expone que las palabras de Jesús encierran un principio espiritual que trasciende la mera obtención de bendiciones materiales. Dicho principio es: “Cuando abandonamos nuestra codicia, cálculos y temores para obedecer la Palabra de Dios, entonces Él se encarga de prepararlo todo”. El pastor David Jang explica que, tanto en su propia experiencia como en la vida de la Iglesia, ha comprobado reiteradamente la vigencia de este principio, impulsando a la comunidad a aplicarlo de manera práctica. Ha enseñado que “incluso ante dificultades financieras, ministeriales o de relaciones interpersonales, si confiamos en Dios y ponemos en primer lugar su Reino, Él se ocupará de todo”. Este no es un mero aserto teórico, sino algo cimentado en la Palabra de Dios y en las vivencias del ministerio.
En esta línea, el pastor David Jang subraya que los cristianos no deben perseguir como fin último el éxito mundano o lo material, sino anhelar ardientemente la justicia de Dios, es decir, ser “los que tienen hambre y sed de justicia”. Estas expresiones implican “anhelar fervientemente que la justicia de Dios se cumpla en este mundo” y “rogar y consagrarse para que el gobierno divino se manifieste en nuestra vida, en la sociedad y en todo el mundo”. Él menciona la palabra “ansia” (“갈급함” en coreano) para describir esta actitud, indicando que ese anhelo espiritual no conduce a la escasez, sino que inunda al creyente de la gracia celestial. A lo largo de la historia bíblica y eclesiástica existen innumerables testimonios que confirman esta verdad, asegura.
Asimismo, el pastor David Jang recuerda la enseñanza de Mateo 6:19-20: “No os hagáis tesoros en la tierra… haceos tesoros en el cielo”, insistiendo en que la riqueza, la fama o el poder que persigamos aquí se desvanecerán eventualmente, pero las obras y los sacrificios hechos por el Reino de Dios no desaparecerán, sino que se transformarán en recompensas eternas. Este es el sentido concreto de “acumular tesoros en el cielo”. Aunque a menudo consideramos solo lo que vemos, para el pastor David Jang la realidad más firme es el Reino de Dios. Él mismo se ha esforzado por vivir para ese Reino, entregando su tiempo, posesiones y talentos durante su ministerio pastoral y misionero; y da testimonio de que, “aunque no sea fácil, quien tome de corazón ese camino experimentará invariablemente cómo Dios sacia en abundancia”.
Por ello, en reuniones y asambleas de la Iglesia, el pastor David Jang suele preguntar: “¿Cuál es nuestra prioridad hoy?”. Invita a preguntarnos si solo nos inquietamos por problemas terrenales y por nuestros fondos económicos, o si de verdad trabajamos por la justicia y entregamos nuestra vida para extender el evangelio. Ese es un cuestionamiento que vale tanto para individuos como para comunidades. Reflexiona asimismo sobre Mateo 6:25 y siguientes: “¿No es la vida más que el alimento, y el cuerpo más que el vestido?”, donde Jesús, al hablar de las aves del cielo y de los lirios del campo, revela que Dios conoce nuestras necesidades cotidianas y tiene poder para suplirlas. ¿Por qué, entonces, temer en exceso? Cada vez que predica sobre este pasaje, el pastor David Jang subraya que Dios es soberano y capaz de suplir en toda circunstancia, invitando a preguntarnos: “¿A qué le tememos, entonces?”.
El pastor David Jang señala otro punto crucial: “Creer de veras que Dios proveerá jamás conduce a la pereza o a la despreocupación irresponsable”. La confianza en que “Dios cubrirá nuestras necesidades” nos impulsa, antes bien, a comprometernos con mayor valentía en pos de la justicia y el Reino de Dios, explica. O sea, quien cree de corazón en la promesa “Buscad primeramente el reino de Dios y su justicia”, no se paraliza ante la escasez material ni ante la opinión del mundo, sino que procede con denuedo a proclamar el evangelio y a hacer el bien.
¿Cómo, entonces, practicar concretamente la búsqueda de la justicia y del Reino de Dios en nuestras vidas? Viéndolo a la luz del ministerio del pastor David Jang, la respuesta siempre converge en “adoración y obediencia a la Palabra, y amor decidido al prójimo”. La doctrina no es pura teoría, sino que cobra vida cuando practicamos las enseñanzas de Jesús. En la adoración, nos encontramos con la majestad de Dios, entendemos la gracia de la salvación en Cristo y experimentamos la obra transformadora del Espíritu Santo. En la Palabra, hallamos la guía y el discernimiento para enfrentar las injusticias del mundo. Finalmente, a través del amor al prójimo, participamos con Dios en la misión de “hacer correr la justicia como un río”. El pastor David Jang llama a esto “la vida como ciudadanos del Reino de Dios”.
En repetidas ocasiones, él ha invitado a la congregación a reflexionar sobre “cuánto hemos buscado el Reino de Dios en estos 28 años de ministerio”. Pese a las amenazas externas, la falta de recursos y motivos de desaliento, su testimonio es que se ha visto a Dios suplir en cada momento, por el simple hecho de mantener viva la confianza en Él y en su Reino. El milagro de los cuervos proveyendo a Elías, el de la harina y el aceite de la viuda de Sarepta, y el de los panes y peces en el desierto, se vuelven a vivir cuando la comunidad persiste en “buscar primero el Reino de Dios y su justicia”, afirma el pastor David Jang.
Así, el versículo de Mateo 6:33, “Buscad primeramente el reino de Dios y su justicia”, constituye un pilar esencial que atraviesa tanto el Antiguo Testamento como el Nuevo, y sostiene la historia de toda la Iglesia. La práctica ministerial del pastor David Jang también gira en torno a este mandato, fundamentándose en la Cristología, la Soteriología y la Escatología para, en último término, brindar una visión del “Reino de Dios”. Advierte con firmeza a la Iglesia de hoy sobre el peligro del materialismo y la acomodación a la cultura secular, exhortándola a cumplir su misión: predicar el evangelio, vivir justamente y amar a las almas perdidas. La petición del Padrenuestro: “Hágase tu voluntad, como en el cielo, así también en la tierra”, se cumple cuando cada creyente ordena sus prioridades y vive con una profunda sed del Reino de Dios. Y en ese camino, el pastor David Jang asegura que Dios derrama Su provisión en abundancia.
De este modo, plantea la pregunta: “¿Qué debemos revisar y decidir en la próxima asamblea general de la iglesia o en nuestras reuniones importantes de aquí a dos semanas?”. ¿Hemos puesto en primer plano el Reino de Dios en estos 28 años, o nos hemos centrado en cuestiones materiales y en la seguridad humana? Él invita a los fieles a examinarse a la luz de este dilema. Y a quienes realmente anhelen el Reino y su justicia, les insta a demostrar esa prioridad en su vida y ministerio. Recuerda que, si miramos atrás, ya sea a los últimos 7, 10 años o a un período más largo, podemos atestiguar cómo Dios nos ha guiado en medio de tantas carencias. Esas historias se asemejan, dice, al milagro de los panes y peces o a la provisión milagrosa en la vida de Elías, una “sobreabundancia de Dios” que, pese a todo, jamás falla.
El mensaje principal del pastor David Jang es claro: “Sed quienes tienen hambre y sed de justicia”. Mateo 5:6 y 10 enseñan: “Bienaventurados los que tienen hambre y sed de justicia, porque ellos serán saciados… Bienaventurados los que padecen persecución por causa de la justicia, porque de ellos es el reino de los cielos”. Esta afirmación, aunque paradójica, es sumamente poderosa. Uno no es desdichado por carecer de bienes materiales, sino por carecer del deseo de la justicia de Dios, lo que lleva a la sequedad espiritual. Por el contrario, quien prioriza el Reino y la justicia, aunque experimente dificultades terrenales, ya es “saciado y verdaderamente rico”. Así lo declara el pastor David Jang una y otra vez, pues considera que este tema es clave para que la Iglesia deje de ser una mera institución religiosa y se convierta de verdad en una comunidad del Reino de Dios.
Ante la injusticia y los conflictos sociales de hoy, a menudo vemos que la Iglesia no funge como refugio, sino que se deja llevar por la lógica del mundo. Cada vez que esto sucede, el pastor David Jang invita de nuevo a recordar: “Buscad primeramente el reino de Dios y su justicia”. La venida del Reino de Dios significa poner fin a la injusticia, que los pobres reciban bendición, que los enfermos sean sanados y que Jesucristo sea el Señor que restaura todas las cosas. Cuando la Iglesia proclama esta gran visión y los creyentes actúan con integridad, amor y misericordia, el mundo empieza a experimentar un anticipo del gobierno divino. En ese proceso, dejamos atrás la preocupación de “qué comer, qué beber, qué vestir”, recibiendo en cambio la libertad y abundancia que da Dios.
Para ello, en sus comunidades de fe, el pastor David Jang alienta la unidad, la oración y la determinación de impactar positivamente a la sociedad. Suele repetir la convicción de que “cuando la Iglesia recupera su esencia, la sociedad también se transforma”. Incluso desde el punto de vista escatológico, no se trata solo de temer una catástrofe final, sino de vivir ya hoy el Reino de Dios, que será plenamente consumado con la segunda venida de Jesús. Así como el nacimiento de Cristo marcó un parteaguas entre a.C. y d.C., cuando la Iglesia muestra el poder genuino del evangelio, la gente puede vislumbrar la diferencia entre la vieja forma de vivir y la nueva creación.
En conclusión, la Iglesia debe obedecer este mandato: “Buscad primeramente el reino de Dios y su justicia”, priorizándolo todo por encima de las preocupaciones terrenales, estableciendo la justicia y negándose a transigir con la injusticia. Aun cuando surjan dificultades, así como Dios proveyó a Elías en el arroyo de Querit, no se agotaron la harina ni el aceite de la viuda de Sarepta, y la multitud en el desierto fue saciada con cinco panes y dos peces, el cristiano también puede vivir diariamente en medio de un “milagro constante”, afirma el pastor David Jang. Esta convicción se expande desde la entrega personal hasta la visión conjunta de la comunidad, dirigiéndose en última instancia a la esperanza escatológica de que “el Reino de Dios vendrá cabalmente a la tierra”.
Las tres doctrinas que tanto recalca el pastor David Jang —Cristología, Soteriología y Escatología— no son parcelas independientes, sino un organismo interconectado cuyo centro es “el justo gobierno de Dios”. Dicho gobierno comienza con el sacrificio y la resurrección de Jesucristo, se extiende con el poder del Espíritu Santo y avanza hacia su consumación en el fin de los tiempos. Por lo tanto, la Iglesia y cada creyente han de buscar siempre ese gobierno en primer lugar y, cuando se vacían para entregarse a esa justicia, experimentan que sus necesidades son saciadas en sobreabundancia. Vivir “hambrientos y sedientos de justicia” no es una pesada carga, sino la vía más dichosa y libre del pueblo de Dios. El pastor David Jang afirma que incontables ejemplos y testimonios dan fe de esta dinámica, invitando a la Iglesia a transitar ese camino con mayor valentía.
El mensaje que él dirige a nuestra generación es contundente. El Reino de Dios no es solo “un lugar al que iremos cuando muramos”, sino un reino presente y futuro, real en el señorío de Jesucristo. El mandato de Jesús de “Buscad primeramente el reino de Dios y su justicia” define el sentido de la existencia de la Iglesia y de la vocación individual de cada creyente. Cuando respondemos a este llamado, la Iglesia asume su papel de sal y luz en el mundo, y cada cristiano experimenta la plenitud y el gozo de saciarse de justicia. Incluso si nuestra realidad pareciera oscura o angustiante, si entregamos con fe nuestros “cinco panes y dos peces”, Dios sigue obrando milagros de multiplicación. Esos milagros representan “tesoros acumulados en el cielo” y serán revelados plenamente en la consumación escatológica ante la presencia de Dios. Por ello, el pastor David Jang exhorta a la Iglesia y a los creyentes a unir fuerzas para predicar el evangelio y vivir conforme a la justicia, confiando en que “se haga Su voluntad en la tierra como en el cielo”. Al hacerlo, se desplegará cada vez con mayor abundancia la gracia de Dios, y todos los cristianos tendrán la posibilidad de participar en esa alegría y esperanza.
장재형목사는 교회 역사와 성경의 핵심 진리를 강조하면서, 기독론·구원론·종말론이라는 세 가지 교리가 어떻게 긴밀히 연결되어 “하나님의 나라”라는 지점으로 이어지는지를 설파해 왔다. 그는 먼저 기독론이란 “예수는 누구신가”라는 질문에서 출발한다고 설명한다. 교회는 역사를 통틀어 “예수 그리스도가 참 하나님이시며 참 인간이시다(veredeus verehomo)”라는 결론을 니케아 회의(325년)와 칼케톤 회의(451년) 등을 통해 정리하였다. 장재형목사는 이 결정이 기독론 이해에 있어 대단히 중요하다고 말한다. 예수님은 죄가 없으신 거룩한 하나님이시며 동시에 인간의 모든 고통과 연약함을 직접 체휼하신 참 사람이시다. 이 신비로운 양면성을 바르게 이해하는 것이, 결국 구원론을 올바르게 받아들이는 토대가 된다고 장재형목사는 강조한다.
그에 따르면, 예수 그리스도가 하나님이심을 부인하거나, 혹은 그리스도의 인성을 축소하는 어떤 신학적 입장도 결국 기독론의 뼈대를 무너뜨려 구원론으로 제대로 나아가지 못하게 만든다. 역사적인 1517년 종교개혁을 거론하면서 장재형목사는 루터와 칼뱅 등 개혁자들이 “구원은 오직 믿음(Sola Fide)과 오직 은혜(Sola Gratia)에 의해서만 가능하다”라고 선언하였던 사실을 중요하게 되새긴다. 이는 중세 교회가 성경의 가르침에서 멀어져, ‘믿음과 은혜’만으로 주어지는 구원을 다른 요소들과 섞어버린 결과 신앙이 희석되고 왜곡되었던 것을 바로잡으려던 외침이었다고 그는 말한다. 장재형목사는 “종교개혁의 구원론은 엄밀히 말해 ‘성경으로 돌아가자’라는 호소였다”고 강조한다. 그렇기에 개혁교회가 주장하는 ‘믿음으로만, 은혜로만’이라는 구원론은 매우 성경적이고 옳은 교리라 할 수 있다는 것이다. 그는 교리란 단순히 교회 교재나 교육 자료에만 머무는 것이 아니라, 실제 성도의 삶 속에서 생명력 있게 작동해야 함을 덧붙인다.
장재형목사는 이어서, 기독론과 구원론이 비교적 잘 정리되어 있는 반면, 종말론에 대해서는 교계 안에서 분분한 의견이 많음을 언급한다. “종말론이 다루는 핵심 주제는 ‘때와 시기(Time and Date)’”라고 하면서, 여기서의 ‘때(Time)’는 헬라어로 크로노스(Chronos)이며, ‘시기(Date)’는 카이로스(Kairos)라고 설명한다. 크로노스적 시간은 양적이고 연속적인 시간 개념을 가리키며, 카이로스는 결정적인 사건이 일어나는 질적인 때를 뜻한다. 성경에서 예수님의 재림이 바로 이 ‘카이로스적 사건’에 해당한다고 장재형목사는 말한다. 그런 결정적 사건으로 예수님이 이 땅에 오실 때(B.C.와 A.D.가 갈리는 그 시점)는 역사 자체를 가른다. 따라서 종말론에서 궁극적으로 다루는 것은 이 땅에 하나님의 나라가 완성되는 과정과 그 구체적 순간이라는 것이다.
장재형목사에 따르면, 성경은 종말에 대한 구체적 예언과 그 불확실성, 그리고 예수님의 직접적인 말씀을 통해 믿는 자들에게“그 때와 시기는 오직 하나님만 아신다”라는 사실을 가르친다. 사도행전 1장 7~8절에 나타난 예수님의 말씀이 이를 잘 보여준다. “때와 시기는 아버지께서 자기 권한에 두셨으니 너희가 알 바 아니요, 오직 성령이 너희에게 임하시면 권능을 받고 땅 끝까지 복음을 전하라”는 명령이 바로 그것이다. 장재형목사는 이 말씀에 착안하여, 종말론에 관심을 가지되 잘못된 종말 예측이나 두려움에 휩싸인 태도가 아니라, 오히려 지금 이 땅에서 복음을 증거하고 하나님의 나라를 준비하는 적극적인 태도가 참된 종말론적인 삶이라고 역설한다.
그렇다면 ‘하나님의 나라’란 어떤 모습인가. 장재형목사는 창조-타락-구원-하나님의 나라로 이어지는 구원사의 흐름을‘사영리’라는 방식을 통해 자주 설명한다. 인간은 원래 하나님이 창조하신 에덴동산, 곧 파라다이스에서 살았으나, 죄로 인해 쫓겨난 존재가 되었다. 그러나 요한복음 3장 16절 말씀에 나타나듯, 하나님께서는 독생자 예수 그리스도를 보내심으로써 인간에게 영생을 허락하셨고, 그 구원의 최종 목적지는 “하나님나라의 회복”이라고 장재형목사는 말한다. 사도행전 1장 6절의“이스라엘 나라를 회복하심이 이 때니이까”라는 제자들의 질문도, 결국 잃어버린 나라—곧 하나님이 통치하시는 의로운 세계가 회복되기를 바라는 것과 맥을 같이한다. 인간의 영혼 깊숙한 곳에는 잃어버린 에덴에 대한 그리움이 있으며, 그것이 곧 “천국을 향한 본능적 소망”이라고 그는 풀이한다. 그리고 그 완성의 시기는 비록 우리가 알 수 없으나, 예수님의 재림으로 인해 분명히 성취될 것이라 힘주어 말한다.
특히 장재형목사는 하나님나라 교리의 핵심 중 하나로 ‘의(義)’의 문제를 강조한다. 마태복음 6장 33절에서 “그런즉 너희는 먼저 그의 나라와 그의 의를 구하라 그리하면 이 모든 것을 너희에게 더하시리라”라고 말씀하신 것처럼, 하나님의 나라는 정의가 충만한 곳이라는 것이다. 불의한 세력이 결국 힘을 잃고, 하나님이 직접 통치하시는 통치가 실현될 때, “정의가 강같이 흐르는 세계”(아모스 5장 24절 참조)가 온전히 펼쳐지는 것이다. 장재형목사는 하나님의 나라는 어떤 추상적 개념이 아니라, 실제 역사와 우리의 일상 속에서 불의에 맞서 의를 세우라는 명령과 함께 도래해 가는 하나님의 통치라고 보았다. 그가 걸어온 사역의 방향도 “먼저 그의 나라와 그의 의를 구하라”는 가르침을 교회와 성도들이 몸소 실천하도록 돕는 데에 맞추어져 있다는 점을 거듭 강조한다.
장재형목사는 사람들의 일상적 관심이 주로 재물이나 물질적 풍요에 쏠려 있다는 사실을 지적한다. 주님의 말씀에 따르면, 인간은 “무엇을 먹을까 무엇을 마실까 무엇을 입을까”를 지나치게 고민하지만, 정작 하나님나라를 위해 헌신하고 섬기며, 의를 위해 고난받는 일에는 소홀한 모습을 보일 때가 많다는 것이다. 마태복음 6장 19~20절에서 예수님은 “너희를 위하여 보물을 땅에 쌓아 두지 말고 하늘에 쌓아 두라”고 말씀하셨다. 장재형목사는 이 구절을 언급하며, 참된 가치는 이 땅의 소유에 국한되지 않고, 영원한 나라에 쌓이게 됨을 반드시 기억해야 한다고 역설한다. 그것이 곧 “의에 주리고 목마른 자는 배부를 것이라”(마5장 6절)는 역설을 경험하는 길이라며, 결국 하나님나라와 의를 위해 삶을 드리는 자들에게 하나님께서 모든 것을 더하여 주시는 은총을 예수님께서 친히 약속하셨다고 말한다.
그렇다면 예수님께서 말씀하시는 하나님의 나라는 구체적으로 어떻게 도래하는가. 장재형목사는 마태복음 13장 등에 나오는 천국 비유들을 예로 들며, 하나님의 나라는 작은 겨자씨와 같아서 처음에는 눈에 잘 띄지 않지만, 자라나면 매우 큰 나무가 되어 새들이 깃들게 된다고 가르치신 것에 주목한다. 또한 누룩 비유를 통해, 하나님의 나라는 보이지 않는 곳에서부터 서서히 역사하여 결국 온 세상을 변화시킨다는 점을 보여주신 예수님의 가르침이 바로 종말론적인 비전과 연결된다고 본다. 장재형목사는 “우리 교회는 늘 사영리와 함께 이 하나님나라에 대한 소망을 잃지 않도록 가르쳐왔다”며, 구원받은 사람이라면 누구나 자신이 회복해야 할 파라다이스를 갈망하게 되고, 그 갈망이 곧 ‘주기도문’에 나타난 ‘뜻이 하늘에서 이룬 것 같이 땅에서도 이루어지이다’라는 간구로 응집된다고 해설한다.
그렇게 볼 때, 기독론은 ‘누가 구원자이신가’를 확립하고, 구원론은 ‘어떻게 구원받는가’를 설명하며, 종말론은 ‘구원받은 이들이 궁극적으로 바라봐야 할 나라가 무엇인가’를 밝히는 삼위일체적 구도 안에서 서로 맞물려 돌아간다. 장재형목사는 기독론을 통해 구원의 근거가 오직 예수님께 있음을 확실히 하고, 구원론을 통해 인간이 얼마나 전적인 은혜에 의지해야 하는지 자각하며, 종말론을 통해 지금 이 순간에도 하나님의 통치가 임하도록 우리가 순종하고 전도해야 한다는 진리를 되새긴다. 그리고 그 교리들은 그저 지식적으로만 머무는 것이 아니라, 믿음의 실천으로 나타날 때 비로소 하나님나라가 우리의 현실에 구현된다고 강조한다.
이 같은 맥락에서 장재형목사가 이끄는 교회와 사역들은 기독교 신앙의 본질적 토대를 세우는 데 힘써왔다. 그는 오랜 세월 목회와 선교 현장에서 가르치면서, 교리의 중요성이 마치 몸의 뼈대와 같다고 거듭 말해왔다. 뼈가 온전해야 몸 전체가 건강하게 움직이듯, 예수님의 정체성과 구원의 방식, 그리고 종말에 이르기까지의 하나님의 계획을 견고히 붙들어야 성도들이 흔들리지 않고 세상을 향해 올바르게 살아갈 수 있다는 것이다. 이러한 교리적 기초가 바로 “먼저 그의 나라와 그의 의를 구하라”는 주님의 말씀을 몸소 실천하는 토대라 할 수 있다. 장재형목사는 모든 시대의 그리스도인들이 이 말씀 앞에서 매번 자신을 돌아보아야 한다고 역설한다. “과연 나는 무엇을 더 우선순위에 두고 있는가? 하나님의 나라를 위해 정말 헌신하고 있는가?”라는 물음은, 단지 과거나 미래 한때만의 문제가 아니라, 삶 전체를 관통하는 질문이어야 한다는 것이다.
결국 그는 “우리가 종말론을 연구하는 이유 역시, ‘때와 시기’를 알아내어 세상적 사건에 대한 호기심을 채우기 위해서가 아니다”라고 말한다. 오직 예수님께서 완성하실 하나님의 나라를 사모하면서, 그 나라가 이미 임하기 시작했음을 믿고, 우리가 이 땅에서 복음을 전하며 의로운 삶을 통해 그 통치를 실현해 나가는 것, 그것이 진정한 종말론적 신앙이다. 종말은 파멸을 의미하는 것이 아니라, 예수님이 온전히 회복해 주시는 “새 하늘과 새 땅”의 완성을 뜻한다. 그런 이유로, 장재형목사는 우리가 날마다 품어야 할 하나님나라의 꿈과 소망을 강조한다. “하나님나라가 임할 때, 불의가 가득한 이 땅에 정의가 강같이 흐르게 될 것”이라는 구약의 선지자적 비전을 동시대에도 이어받아, 우리의 시선이 물질이나 일시적 성공이 아닌, 영원한 하나님의 통치에 고정되어야 한다고 힘주어 말한다.
Ⅱ. ‘먼저 그의 나라와 그의 의를 구하라’
장재형목사는 마태복음 6장 33절에 대한 묵상을 기반으로, “먼저 그의 나라와 그의 의를 구하라”는 예수님의 말씀이 이 시대를 살아가는 모든 그리스도인에게 어떤 의미를 갖는지 구체적으로 해설한다. 사람들은 종종 이 말씀을 지나치게 영적이거나 추상적으로만 해석하여, 마치 현실의 필요를 무시해도 된다는 식으로 오해할 때가 있다. 그러나 장재형목사는 예수님께서“무엇을 먹을까, 무엇을 마실까, 무엇을 입을까” 염려하지 말라고 하셨을 때, 그 자체를 소홀히 여기라는 말씀이 아니라 “더 중요한 우선순위가 있다”는 사실을 분명하게 가르치신 것이라고 설명한다. 그는 설교와 강의에서 늘 “음식이나 의복도 다 필요하지만, 하나님나라는 그 이상의 절대적 가치를 지닌다”는 관점을 제시한다.
이때 주목해야 할 부분은, 예수님께서 마태복음 6장 전체에서 지적하시는 ‘재물이나 외적인 것에 대한 과도한 집착’을 버리고, 믿음을 통해 하나님께 온전한 신뢰를 두라는 권면이다. 장재형목사는 이 말씀과 관련해, 구약의 엘리야 이야기를 대표적 예시로 든다. 열왕기상 17장 1~16절을 살펴보면, 이스라엘 땅에 가뭄이 들었을 때, 하나님은 엘리야에게 그릿 시냇가로 가서 까마귀의 공급을 받게 하셨다. 이후에는 시돈 땅 사르밧 과부에게로 그를 보내셨는데, 그 과부 역시 가뭄으로 인해 마지막 남은 가루 한 움큼과 기름 조금으로 떡을 만들어 자기와 아들이 먹고 죽으려는 처지였다. 그러나 엘리야는 하나님의 말씀을 의지해“먼저 내게 떡을 구워 달라”고 요청했고, 과부도 믿음으로 순종했다. 그 결과, 그 통의 가루와 병의 기름이 비가 올 때까지 떨어지지 않는 기적이 일어났다.
장재형목사는 이 사건을 두고, “비워 내는 믿음(캐노시스, kenosis)이 결국 기적을 가져온다”라고 풀이한다. 사르밧 과부의 입장에서는, 그 마지막 양식마저 바치면 당장 굶어 죽을 위기에 처할 수도 있었다. 그러나 하나님의 사람이 전하는 말씀에 대한 신뢰가 있었기에, 과부는 그 작고 보잘것없는 양식을 먼저 엘리야에게 드렸고, 결과적으로 자기 아들과 함께 여러 날 먹고도 부족함이 없는 은혜를 경험한 것이다. 장재형목사는 이를 “의에 주리고 목마른 자는 배부를 것이며, 먼저 하나님의 나라를 구하는 자에게 이 모든 것이 더해진다는 주님의 말씀을 구약의 사건을 통해 체화하는 사례”라고 설명한다. 그리하여 그는, 현실적으로 보기에 불가능해 보이는 상황에서라도 믿음을 가지고 하나님나라를 위한 결단을 내릴 때, 실제로 일상 속에서 하나님의 공급이 이루어지는 ‘기적의 역학’을 경험하게 된다고 강조한다.
비슷한 논리를 신약에서도 발견할 수 있는데, 바로 오병이어의 기적이다. 누가복음 9장 10~17절에 기록된 이 사건은 사복음서 모두에 등장하는 매우 중요한 기적이다. 광야(빈들)에 모인 많은 무리에게 먹을 양식이 부족했을 때, 예수님은 제자들에게“너희가 먹을 것을 주라”고 하셨다. 그러나 제자들은 “오직 떡 다섯 개와 물고기 두 마리밖에는 없습니다”라고 대답했다. 당시의 떡은 거칠고 투박한 보리떡이며, 물고기도 잡다한 작은 생선일 가능성이 높았다. 그러나 예수님은 그것을 받으시고 축사하신 뒤 제자들에게 나누어 주게 하셨고, 그 결과 남자만 5,000명가량이 먹고도 열두 바구니가 남는 풍성한 기적이 일어났다.
장재형목사는 이 장면 역시 “하나님의 나라와 그의 의를 구하는 자의 삶이 어떻게 물질적, 현실적 공급까지도 넘치게 하시는가”를 보여주는 생생한 사례라고 말한다. 떡 다섯 개와 물고기 두 마리라는 보잘것없는 자원의 전부를 주님께 내어놓는‘비움’의 태도가, 엄청난 ‘충만’으로 이어진다는 것이다. 이는 그저 신비롭고 일회적인 사건이 아니라, 믿는 이들이 하나님을 섬길 때마다 체험할 수 있는 보편적 진리를 상징한다. 물론 모든 그리스도인이 ‘오병이어’처럼 수천 명분의 양식이 기적적으로 늘어나는 경험을 할 수는 없겠지만, 영적인 측면에서나 실제 일상적인 필요에서도 하나님이 언제나 채우신다는 확신, 그리고 하나님나라를 위해 헌신하는 자들에게는 예상치 못한 은혜가 부어진다는 진리는 그대로 유효하다고 장재형목사는 강조한다.
이러한 구약과 신약의 사건들을 통해, 우리는 “의에 주리고 목마른 자가 배부를 것”이라는 성경의 역설을 알 수 있다. 장재형목사는 “굳이 인간적인 이치를 따지자면, 배부르려면 빵을 더 구해야지 왜 의를 구해야 하는가”라는 물음을 제기하며, 예수님의 말씀에는 단순히 물질적 축복을 넘어서는 심오한 영적 원리가 스며 있다고 해설한다. 그것은 곧 “나의 욕심과 계산, 두려움을 벗어버리고 하나님의 말씀에 순종할 때, 하나님께서 모든 것을 예비하신다”는 것이다. 장재형목사는 이 원리가 오늘날에도 여전히 유효함을 몸소 체험했고, 교회 공동체 안에 그것을 실제로 적용하고자 했다. 그가 “재정적, 사역적, 인간관계적 어려움들 앞에서도 하나님을 신뢰하고 그 나라를 우선순위에 두면, 결국 하나님이 다루실 일”이라고 말해온 것은, 단지 관념적 확신이 아니라 성경의 역사적 사건들과 그의 사역 현장에서의 체험들에 뿌리를 두고 있다.
장재형목사는 이런 맥락 속에서, 그리스도인이 세상적 성공이나 물질을 최종적 목적지로 삼지 말고, “의에 주리고 목마른 자”가 되어야 한다고 거듭 강조한다. “의에 주리고 목마르다”는 표현은 곧 “하나님나라의 정의가 이 땅에 이루어지기를 간절히 사모한다”는 뜻이며, “하나님의 통치가 우리의 삶에서, 사회에서, 그리고 세계 속에서 나타나도록 기도하고 헌신한다”는 결단을 담고 있다. 그는 이를 “갈급함”이라는 단어로 표현하기도 하는데, 영적 갈급함은 결코 우리를 궁핍함으로 몰고 가지 않고, 도리어 하늘의 은혜로 충만케 만든다는 점이 성경과 교회사의 다양한 사례에서 증명되었다고 주장한다.
장재형목사는 또한 ‘하늘에 보물을 쌓으라’는 마태복음 6장 19~20절의 가르침을 다시 한 번 상기시키며, 이 땅에서 우리가 추구하는 재물이나 명예, 권력은 언젠가 사라지고 마는 것이지만, 하나님나라를 위한 수고와 헌신은 결코 사라지지 않는 영원한 상급이 된다고 말한다. 이것이 곧 “보물을 하늘에 쌓아 두라”는 예수님의 말씀의 실제적 의미라는 것이다. 우리는 흔히 눈에 보이는 것들만이 확실하다고 느낄지 모르지만, 장재형목사에게 있어 그보다 더 확실한 세계는 하나님나라다. 그는 그 나라를 위해 자신의 시간과 재물, 재능 등을 아낌없이 드리는 모습을 목회와 선교 사역 전반에서 보였고, 동시에 “모두가 이렇게 살기 쉽지는 않지만, 누구든지 진정으로 그 길을 선택한다면 하나님께서 반드시 배부르게 채우시는 체험을 하게 된다”고 간증한다.
그래서 장재형목사는 교회 총회나 각종 모임에서 늘 “지금 우리가 무엇을 우선순위에 두고 있는가?”라는 질문을 던진다. “우리가 현실적인 문제만을 놓고 염려하며 재정을 쫓고 있지는 않은가, 아니면 의를 위해 수고하고 복음을 전파하기 위해 헌신하고 있는가”라는 질문은 개인과 공동체 모두가 반드시 되짚어보아야 할 것이다. 그가 주목하는 마태복음 6장 25절 이하의“목숨이 음식보다 중하지 아니하며, 몸이 의복보다 중하지 아니하냐”라는 말씀은, ‘가장 중요하고 근본적인 가치가 무엇인가’를 묻는 질문으로 귀결된다. 공중의 새와 들의 백합화를 예로 들며, 하나님은 우리의 일상적 필요를 채우시는 분이시니 지나치게 물질에 묶여 살지 말라고 하신 예수님의 권고는, 오히려 우리에게 자유와 기쁨을 준다. 장재형목사는 이 구절들을 설교할 때마다, “하나님은 이미 우리에게 필요한 것을 알고 계시며, 실제로 채우실 능력이 있으신 분”이라는 사실을 거듭 상기시키며, 청중에게 “그렇다면 무엇을 두려워하겠는가?”라고 묻는다.
그가 목회 현장에서 강조하는 또 하나의 포인트는, “이 말씀을 온전히 믿는 자는 결코 게으르거나 방종에 빠지지 않는다”는 것이다. “하나님이 채우신다”는 믿음은 무작정 손 놓고 있는 태도가 아니라, ‘하나님의 나라를 위해 더 용기 있게 헌신하고, 더 적극적으로 의를 추구할 수 있는 힘’이 된다고 장재형목사는 해설한다. 즉, “너희는 먼저 그의 나라와 그의 의를 구하라”는 예수님의 말씀을 진심으로 신뢰하는 자는, 세상의 평가나 물질 부족에 대한 두려움으로 인해 주저앉지 않고, 오히려 더 담대하게 복음을 전하고 선한 일을 실천할 수 있다는 뜻이다.
그렇다면 어떻게 하면 구체적으로 하나님나라를 위하여 의를 구하며 살 수 있는가. 장재형목사의 사역을 통해 비추어 보면, 그 답은 늘 ‘예배와 말씀에 대한 순종, 그리고 이웃에 대한 적극적 사랑’으로 요약될 수 있다. 교리는 이론이 아니며, 삶 속에서 예수님의 가르침을 실천할 때 비로소 뼈대에 살이 붙고 피가 돈다는 말이 이를 잘 설명한다. 예배를 통해 우리는 하나님이 누구신지, 예수님의 구원이 어떤 은혜인지, 그리고 세상을 새롭게 하시는 성령의 역사가 얼마나 강력한지를 체험한다. 그리고 말씀을 통하여 불의한 현실 앞에서 올바른 판단과 결단을 할 수 있는 통찰을 얻는다. 마지막으로, 이웃을 사랑함으로써 우리는‘정의가 강같이 흐르는 세계’를 예비하는 하나님의 동역자가 되어 간다. 장재형목사는 이것을 “하나님나라 백성의 삶”이라고 부른다.
그는 “28년이라는 긴 사역 기간 동안, 교회가 얼마나 ‘그의 나라와 그의 의’를 구하며 달려왔는지 돌아보자”라며, 하나님의 공급하심을 체험한 다양한 간증을 전하기도 했다. 비록 외부적 위협과 물질 부족, 수많은 낙심의 요소가 있었을지라도, 오히려 그럴수록 한결같이 하나님을 신뢰하며 그 길을 지켜나갔다는 것이 그의 고백이다. 엘리야에게 하늘에서 내려온 까마귀의 양식과 사르밧 과부의 기름, 그리고 광야에서 터진 오병이어의 기적이 이 시대에도 재현되는 것은, 바로 이 “먼저 그의 나라와 그의 의를 구하는 믿음” 때문이라고 장재형목사는 설명한다.
결국 ‘먼저 그의 나라와 그의 의를 구하라’는 마태복음 6장 33절의 말씀은, 구약과 신약을 꿰뚫고 교회의 역사 전반을 지탱하는 중요한 기둥과도 같다. 장재형목사의 목회적 실천 또한 이 말씀을 축으로 삼아, 기독론과 구원론, 그리고 종말론에 입각하여 궁극적으로 ‘하나님의 나라’라는 비전을 제시해 왔다. 그는 현대 교회가 물질주의나 세상 풍조에 흔들리는 것을 경계하면서, 교회가 본연의 임무인 복음 전파, 의를 추구하는 삶, 나아가서 잃어버린 영혼들을 향한 사랑을 새롭게 붙들도록 도전한다. “뜻이 하늘에서 이루어진 것 같이 땅에서도 이루어진다”는 주기도문의 간구가 실제화되는 길은, 성도 개개인이 먼저 삶의 우선순위를 재정비하고, 하나님나라를 향한 갈급함으로 나아가는 데 있다. 이 길을 걸어가는 모든 이들에게 하나님의 공급은 언제나 넘치게 부어진다는 것을 장재형목사는 확신한다.
그리하여 그는 “우리가 2주 후에 있을 총회나 교단의 큰 모임을 준비하면서, 과연 무엇을 돌아보고 어떻게 결단해야 하는가”를 묻는다. “28년이라는 시간 동안 과연 우리는 하나님의 나라를 우선순위에 두었는가, 아니면 물질과 인간적 안정에 치중했는가”라는 질문을 성도들과 함께 숙고하자는 것이다. 그리고 진정으로 하나님나라와 의를 구하는 이들이라면, 그 우선순위를 실제로 삶과 사역에서 증명해야 한다고 거듭 당부한다. 장재형목사는 “우리가 지난 7년, 10년, 혹은 더 긴 시간에 걸쳐 걸어온 길을 회고해보면, 수많은 결핍에도 불구하고 하나님이 우리를 어떻게 인도해 주셨는지 다 간증할 수 있을 것”이라며, 그 모든 스토리가 마치 엘리야와 사르밧 과부, 그리고 광야에서 물고기 두 마리와 보리떡 다섯 개로 일으키신 기적과 같은 ‘하나님의 충만’으로 향하고 있음을 느낀다고 말한다.
장재형목사가 강조하는 바는 명확하다. “의에 주리고 목마른 자”가 되라는 것이다. “의에 주리고 목마른 자는 복이 있나니 천국이 그들의 것”이라는 마태복음 5장 6절과 10절의 말씀은 역설적이면서도 강력하다. 물질이 없어서 불행한 것이 아니라, 하나님의 의를 갈망하지 않고 그 나라를 사모하지 않기에 영혼이 메마른 것일 수 있다. 반대로, 현실의 조건이 어떠하든 하나님나라를 구하고 의를 위해 고난받는 자는 이미 “배부른 자요, 부유한 자”라고 장재형목사는 외친다. 그가 이 주제를 끊임없이 되풀이하여 설교하고 가르치는 이유는, 교회가 단순히 종교 조직으로서가 아니라, 진정한 하나님나라 공동체로 성장하기 위한 핵심이기 때문이다.
오늘날 우리가 마주하는 사회적 불의와 갈등의 한복판에서, 교회가 피난처가 되지 못하고 세상의 논리에 휘둘리는 모습도 목격한다. 이런 상황을 마주할 때마다, 장재형목사는 다시 한 번 “먼저 그의 나라와 그의 의를 구하라”는 말씀을 기억해야 한다고 촉구한다. 하나님나라가 임한다는 것은 곧 이 땅의 불의가 종식되고, 가난한 자가 복을 받고, 병든 자가 치유되며, 예수님이 주인이 되어 만물을 회복하신다는 뜻이다. 교회가 이 거대한 비전을 선포하고, 성도들이 각자의 자리에서 정직과 사랑과 자비로 행하며, 예수 그리스도를 증언할 때, 세상은 비로소 하나님의 통치를 조금씩 맛보기 시작한다. 그리고 그 과정에서 우리는 “무엇을 먹을까, 무엇을 마실까, 무엇을 입을까”라는 염려의 굴레에서 벗어나, 하나님이 채우시는 풍요를 누린다.
장재형목사는 이를 위해 교회 공동체 안에서 서로를 격려하고, 말씀과 기도로 무장하며, 세상에 선한 영향력을 끼치는 다양한 실천적 사역들을 펼쳐 왔다. 그가 자주 언급하는 명제는 “교회가 교회다운 모습을 회복할 때, 세상도 달라진다”는 확신이다. 이것은 종말론적 관점에서도, 단순히 어느 순간에 전쟁이나 재난으로 인해 세상이 끝나고 말 것이라는 두려움과 달리, 예수님의 재림 때 온전히 완성될 하나님나라를 지금 여기에서 미리 살아내는 교회의 소명과 맞닿아 있다. 마치 예수님의 초림으로B.C.와 A.D.가 갈라졌듯이, 교회가 진정한 복음의 능력을 드러낼 때, 주변 사회는 옛 삶의 방식과 새 창조가 교차되는 순간들을 목도하게 된다는 것이다.
이제 교회가 해야 할 일은 분명하다. “너희는 먼저 그의 나라와 그의 의를 구하라”는 말씀을 되새기고, 실제로 모든 삶의 우선순위를 하나님나라에 둔 채, 의를 세우며 불의에 타협하지 않는 것이다. 이것이 때때로 어려움을 동반할지라도, 엘리야에게 하늘의 양식이 예비되었듯, 사르밧 과부가 마지막 남은 가루와 기름으로 인해 풍성함을 누렸듯, 그리고 광야의 수많은 무리가 오병이어로 배부름을 체험했듯, 그리스도인은 매일매일 기적 속에 살아갈 수 있다고 장재형목사는 확신한다. 그 확신은 개인의 헌신과 전체 공동체의 비전에까지 이어져, 궁극적으로 ‘하나님의 나라가 이 땅에 임하기를 소망한다’는 종말론적 대망으로 완성된다.
장재형목사가 그토록 힘주어 말하는 기독론, 구원론, 종말론은 단절된 교리가 아니라 긴밀히 연결된 유기체이며, 그 중심에“의로운 하나님의 통치”가 있다. 이 통치는 예수 그리스도의 희생과 부활로 시작된 것이고, 성령의 능력으로 확장되어 가며, 종말론적 완성을 향해 전진한다. 그러므로 교회와 성도들은 언제나 이 통치를 최우선으로 구해야 하고, 그 의를 위해 스스로를 비워 드릴 때, 결과적으로 모든 필요가 채워지고 넘치는 ‘하나님의 공급’을 경험하게 된다. “의에 주리고 목마른 자”로 살아가라는 도전은 결코 무거운 부담이 아니라, 하나님의 사람으로서 가장 복되고 자유로운 삶의 방식이다. 장재형목사는 이러한 삶의 원리가 수많은 예화와 간증을 통해 입증된다고 말하며, 앞으로도 교회가 이 길을 더욱 과감히 걸어갈 것을 촉구한다.
이 시대를 향한 장재형목사의 메시지는 분명하다. 하나님의 나라는 ‘먼 훗날 죽어서만 가는 곳’이 아니라, 예수 그리스도의 통치를 실제로 이루어 가는 현재적이자 미래적인 나라이다. “먼저 그의 나라와 그의 의를 구하라”는 예수님의 명령은, 교회의 존재 이유이며, 성도 개인의 소명이다. 이 말씀을 붙들고 살아갈 때, 교회는 비로소 세상에서 소금과 빛의 역할을 감당할 수 있고, 성도들은 ‘의에 주리고 목마른 자가 배부름을 얻는’ 영적 기쁨과 충족을 누릴 수 있다. 장재형목사는 우리의 현실이 아무리 어둡고 힘겨워 보인다 해도, 믿음으로 우리의 떡 다섯 개와 물고기 두 마리를 주님께 내어놓는다면, 하나님은 지금도 오병이어의 기적을 일으키신다고 강조한다. 그리고 그 기적이야말로 “하늘에 쌓은 보물”이며, 언젠가 종말론적 완성을 통해 하나님 앞에 드러날 영원한 열매라고 말한다. 이런 이유로, 그는 교회와 성도들이 힘을 모아 복음 전파와 의를 위한 삶을 지속해 나갈 때, 궁극적으로 “뜻이 하늘에서 이룬 것 같이 땅에서도 이루어지는” 은혜가 점점 더 풍성히 펼쳐질 것이라 확신하며, 모든 그리스도인이 그 기쁨과 소망에 동참하기를 호소한다.
L’événement de la crucifixion de Jésus-Christ est le point central et l’apogée de la foi chrétienne. Le passage de l’Évangile selon Jean, à partir du chapitre 19, verset 18, décrit de manière précise la scène où Jésus, au mont Golgotha, est cloué sur la croix entre deux brigands et subit une souffrance atroce. Selon ce texte, Jésus est crucifié “au milieu”, ce qui montre de la manière la plus frappante que, Fils de Dieu tout-puissant, Il a pris la place des pécheurs et a porté leurs fautes. Le fait que Jésus soit placé entre deux malfaiteurs est à la fois choquant et riche en implications spirituelles : l’Enfant de Dieu, tout-puissant, accepte de porter le péché de l’humanité dans un moment de honte et de tragédie absolues.
En commentant ce passage, le pasteur David Jang souligne que l’événement de la croix ne peut être réduit à une simple “défaite” ou à une tragédie. Dans le récit, Pilate fait inscrire sur la croix l’expression « Roi des Juifs » en hébreu, en grec et en latin, de sorte que cette nouvelle puisse se diffuser, selon la providence souveraine de Dieu, non seulement aux Juifs mais aussi aux Grecs et aux Romains. Cet épisode préfigure la réalité que Jésus n’est pas le Roi d’un peuple particulier, mais qu’Il est le Messie pour toute l’humanité. Le pasteur David Jang insiste sur le fait que l’œuvre de salut de Jésus-Christ ne se limite à aucune ethnie ni classe sociale. De manière ironique, la sentence de Pilate proclamant « le Roi des Juifs » a, malgré ses propres intentions, mis en lumière la véritable identité et la majesté de Jésus.
Ainsi, malgré le grave péché commis par Pilate, qui a condamné à mort un homme innocent, l’inscription « Roi des Juifs » qu’il a obstinément maintenue trahit en réalité la véritable identité de Jésus. Lorsque Pilate déclare : « Ce que j’ai écrit, je l’ai écrit », il devient malgré lui un instrument servant à révéler la providence rédemptrice de Dieu dans le cours de l’histoire. Le pasteur David Jang voit dans cette ironie la preuve que même les décisions humaines arrogantes, qui peuvent sembler relever du hasard ou de l’injustice, s’accomplissent finalement dans le sens voulu par Dieu.
Celui qui est proclamé « Roi des Juifs » endure, sur la croix, les injures et les souffrances du monde pour porter le péché de l’humanité. La plupart des disciples ont pris la fuite, ne laissant que quelques femmes et le disciple bien-aimé Jean auprès de Lui. À l’inverse, les soldats romains se sont partagé les vêtements des condamnés comme un butin, allant jusqu’à tirer au sort la “tunique” de Jésus (un vêtement sans couture). Vu de l’extérieur, cela ressemble à une forme de pillage sur un condamné. Mais d’un point de vue spirituel, on y voit l’expression la plus manifeste de l’avidité humaine. Alors que Jésus a tout donné pour les pécheurs, le monde se dispute jusqu’à Ses derniers biens.
Le pasteur David Jang affirme que cette scène sert de “miroir” pour l’Église et le croyant, en nous invitant à un examen de conscience. En effet, l’Église et ses membres ne sont pas à l’abri de l’orgueil, de la convoitise ou de la recherche du prestige. Ainsi, l’attitude cupide des soldats romains de Jean 19 n’est pas seulement un épisode ancien, mais une mise en garde contre ce qui peut se reproduire de nos jours au sein même de la communauté chrétienne. Le pasteur David Jang nous interpelle à nous examiner : au lieu de méditer profondément la passion et la miséricorde du Christ sous la croix, ne sommes-nous pas parfois enclins à instrumentaliser notre foi afin de satisfaire nos désirs ou d’atteindre nos objectifs terrestres ?
À proximité de la croix, quatre femmes ne se sont pas enfuies malgré leur peur et sont restées fidèles à Jésus jusqu’au bout : Sa mère Marie, la sœur de Sa mère, Marie femme de Clopas, et Marie de Magdala. Le lieu de la crucifixion était non seulement un lieu de tristesse mais aussi un lieu effrayant, surveillé par des soldats impitoyables qui procédaient à l’exécution. Pourtant, ces femmes ont contemplé la souffrance du Seigneur et l’ont accompagné jusqu’au dernier instant. Contrairement à Pierre qui a pris peur et s’est enfui, elles ont laissé l’amour surmonter la peur. Cet exemple est d’une importance cruciale pour nous aujourd’hui. Certes, le chemin de la croix est un chemin de souffrance ; néanmoins, quand on connaît l’amour du Christ, on n’en détourne pas les pas. Le pasteur David Jang voit dans l’engagement de ces femmes un symbole du courage et de l’amour que l’Église doit imiter. Elles ont persévéré là où les disciples masculins s’étaient dispersés, accompagnant le Seigneur dans l’instant le plus terrible.
En méditant ce texte, nous comprenons plus profondément comment Jésus, Roi et en même temps Grand Prêtre, est descendu à la place la plus humble. Dans l’Évangile selon Jean, Jésus s’est présenté à plusieurs reprises comme le “bon berger qui donne sa vie pour ses brebis” (cf. Jn 10). Effectivement, Il donne tout, jusqu’à se voir dépouillé de Son dernier vêtement. L’amour que Jésus manifeste sur la croix, chargé du péché du monde, va bien au-delà d’une simple vertu morale ; il s’agit d’un sacrifice parfait offert aux pécheurs, l’acte de rédemption le plus radical de Dieu à travers Son Fils. Le pasteur David Jang nous invite à contempler l’“ironie” selon laquelle Jésus est le Roi suprême tout en s’abaissant jusqu’à se dépouiller entièrement comme un serviteur.
Un autre point notable est l’indication dans l’évangile que la tunique de Jésus était “tissée d’une seule pièce, depuis le haut”. Jean mentionne ce détail pour rappeler la forme de la robe portée par le Grand Prêtre dans l’Ancien Israël, symbole de sainteté et d’une consécration totale à Dieu. Selon l’interprétation du pasteur David Jang, le fait que Jésus porte cette tunique “tissée d’une seule pièce” suggère qu’Il est le véritable Grand Prêtre qui accomplit une rédemption parfaite en mourant sur la croix. Ainsi, même si à vue humaine Sa mort paraît misérable et vaine, d’un point de vue spirituel, c’est un moment de gloire où s’achève la mission la plus solennelle. Pendant ce temps, les soldats romains, qui tirent au sort ce vêtement, illustrent, par contraste, la convoitise et l’indifférence humaines.
Le tirage au sort des soldats romains au pied de la croix démontre le paroxysme de l’indifférence et de la soif de profit. Ainsi, guidés par leur cupidité, ils ne reconnaissent pas en Jésus le vrai Roi et n’y voient qu’un objet à s’approprier. C’est refuser la grâce au moment où elle est la plus nécessaire, et c’est offenser Dieu. Mais pour ceux qui méditent l’événement de la croix, cette scène n’est pas seulement choquante : elle nous invite aussi à un examen lucide de notre propre condition. Jésus nous a déjà donné tout, y compris ce que nous craignons de perdre ; Il a accompli le salut en se dépouillant de tout. C’est pourquoi Lui seul est la clé pour vaincre notre convoitise et notre désir de possession, et Il nous laisse un exemple saint à suivre.
La sentence de Pilate, désignant Jésus comme « le Roi des Juifs », et l’image de Jésus dépouillé de tout sur la croix forment une paradoxale contradiction. Il est le Roi et pourtant Il renonce à tout ; Il est le Saint Grand Prêtre mais meurt comme un condamné honteux ; Il est le Tout-Puissant mais se laisse railler parmi les hommes. Selon le pasteur David Jang, ce paradoxe exprime la substance même de l’Évangile : la croix n’est pas la défaite de Jésus, mais Sa victoire ultime, révélant l’amour infini de Dieu pour l’humanité.
Le pivot de la théologie de la croix que souligne le pasteur David Jang est donc celui-ci : Jésus, sans péché, est descendu à la place du pécheur et S’est offert en sacrifice afin de réconcilier Dieu et l’humanité. L’expression du “Dieu crucifié” (The Crucified God) telle que l’évoque l’Évangile selon Jean est au cœur de la mission de l’Église et de l’identité chrétienne. Dans une société où l’on recherche toujours plus de confort, de réussite et de possessions, l’Église et le croyant sont appelés à suivre une voie diamétralement opposée : la “voie de la croix”. Sur ce chemin, nous abandonnons nos désirs égoïstes, notre orgueil, nos convoitises mondaines, et nous vivons par la grâce et l’amour du Seigneur.
Le pasteur David Jang enseigne ainsi que nous devons constamment revenir au pied de la croix pour en contempler la réalité. Le comportement des soldats romains, qui tirent au sort la dernière tunique de Jésus, n’est pas qu’une atrocité passée : il peut se reproduire dans l’Église d’aujourd’hui sous la forme d’une foi instrumentalisée par la recherche de l’intérêt et du profit. Nous devons alors nous examiner : sommes-nous complices de ce projet “séculier” qui réduit la croix à un simple outil pour assouvir nos convoitises ? En même temps, voir Jésus tout donner jusqu’au bout réveille notre foi et nourrit en nous le désir de Lui ressembler. Pour le pasteur David Jang, ce n’est pas tant la pratique du “vœu de pauvreté” en soi qui compte, mais plutôt la disposition à se donner là où il y a besoin, et à participer activement à l’amour qui s’exprime jusque dans la souffrance.
La scène au pied de la croix est ainsi pleine d’“ironie sacrée” : le Fils de Dieu au milieu des brigands, le plus Pur dans l’endroit le plus sordide. Et dans ce contraste, nous prenons conscience que nous, pécheurs, devons notre salut à l’œuvre de Jésus. L’incohérence apparente de cette scène fait ressortir plus clairement la souveraineté absolue et l’amour de Christ. Cet amour se prolonge dans la fidélité des femmes restées auprès de la croix, témoignant d’un dévouement et d’un courage exemplaires. Le pasteur David Jang exhorte l’Église à méditer leur foi sincère et leur amour sacrificiel. Car l’amour seul chasse la crainte, et seul l’amour nous maintient auprès du Seigneur malgré les profondeurs de la souffrance de la croix.
Le chapitre 19 de l’Évangile selon Jean montre comment la crucifixion de Jésus accomplit les prophéties des Écritures (notamment le Psaume 22) et réalise pleinement la volonté sainte de Dieu. Le point clé que le pasteur David Jang fait ressortir est que la descente de Jésus, Son renoncement, Son offrande totale, est en réalité le triomphe de Dieu et la vocation sacrée offerte à chacun de nous. Ni la condamnation politique et arbitraire de Pilate, ni l’avidité des soldats romains, ni les cris impitoyables des chefs juifs ne peuvent empêcher le Seigneur d’aller au bout de Son dessein rédempteur. La croix, portant l’inscription « Roi des Juifs », triomphe de toutes les intrigues du pouvoir et de la convoitise humaine pour s’ériger comme le signe de la vérité absolue.
En contemplant ainsi Jésus crucifié, nous découvrons l’absolue consécration de Jésus et la valeur du royaume de Dieu. Et c’est précisément ce chemin que nous sommes appelés à suivre. Selon le pasteur David Jang, la croix est la source de vie qui maintient l’Église dans sa vocation authentique. Même si le monde nous distrait ou nous incite à l’orgueil, celui qui fixe son regard sur la croix reçoit l’Esprit d’humilité, d’amour, de sacrifice et de consécration. Le Fils de Dieu, sans péché, a souffert entre deux brigands pour arracher à la mort des hommes qui, devant Dieu, n’étaient pas moins coupables que ces malfaiteurs. C’est là le message immuable de l’Évangile. Nous sommes ainsi appelés à revenir sans cesse au pied de la croix, et pour le pasteur David Jang, le plus grand don que l’Église puisse offrir au monde, c’est de proclamer ce sacrifice saint et salvateur de Jésus-Christ.
2. La Croix
Bien que la mort de Jésus sur la croix remonte à deux mille ans, elle exerce encore aujourd’hui une influence profonde sur l’Église et les croyants. Dans une société moderne marquée par le matérialisme, l’individualisme et la sécularisation, il arrive que l’Église elle-même dérive sous ces influences. Face à cela, le pasteur David Jang, en s’appuyant sur la scène de la crucifixion décrite dans Jean 19, verset 18 et suivants, rappelle les fondamentaux auxquels l’Église et les croyants doivent s’attacher. Il résume l’enseignement spirituel de la croix en deux points : premièrement, l’essence même du salut réside dans l’amour sacrificiel et l’abandon de soi que Dieu manifeste envers nous ; deuxièmement, cet amour doit se traduire concrètement dans notre vie quotidienne.
D’abord, la scène où “le Fils de Dieu est crucifié entre des brigands” est d’une ironie dramatique : Jésus est condamné comme pécheur, alors qu’en réalité Il porte le péché de ces pécheurs en acte de rédemption. Si nous transposons cela à l’Église contemporaine, nous constatons que celle-ci peut être l’objet de moquerie ou de rejet de la part du monde. Or, c’est précisément dans ces situations que l’Église doit révéler la substance du véritable Évangile. Pour le pasteur David Jang, quand l’Église vit et prêche la “théologie de la croix” au sein du monde, elle ouvre la porte du salut à ces “brigands” qui en ont le plus besoin.
Mais l’un des problèmes majeurs est que l’Église a parfois tendance à oublier l’esprit de la croix et à succomber à la recherche de la richesse, du pouvoir, de l’influence, reproduisant ainsi la scène où les soldats romains se partagent les vêtements de Jésus en lançant les dés. Nous pouvons, nous aussi, proclamer notre foi tout en poursuivant en secret notre bénéfice personnel. Nous ne sommes pas si différents de ces soldats qui ont convoité la dernière tunique de Jésus en tirant au sort. Le pasteur David Jang insiste sur le fait que cette attitude n’est pas l’apanage d’une époque révolue mais peut malheureusement se rencontrer dans l’Église d’aujourd’hui.
Il rappelle également que Jésus n’a jamais recherché la puissance ni les richesses de ce monde pour établir Son règne. Au contraire, Il a pratiqué l’humilité et le service, jusqu’à mourir de la mort la plus infamante, révélant ainsi le salut de Dieu. Cet exemple nous met au défi de rétablir une “spiritualité de la croix”. Beaucoup se disent disciples de Jésus, tout en vivant dans une forme de duplicité en adoptant les valeurs du monde : poursuite du succès, prospérité et gloire. Pourtant, Jésus nous dit clairement : « Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix et qu’il me suive » (Mt 16:24). Telle est la voie à laquelle l’Église et chaque croyant sont conviés.
La croix, symbole de honte, de mort et de souffrance, devient aussi le point de départ de l’espérance en la résurrection. Le pasteur David Jang souligne qu’il n’y a pas de résurrection sans la croix, et pas de vie nouvelle sans renoncement à soi. C’est pourquoi la communauté de foi doit sans cesse revenir à l’amour de la croix et le mettre en pratique. Alors seulement l’Église peut être “sel de la terre et lumière du monde”. Jésus, qui a subi l’outrage et la dérision des soldats romains et du peuple, n’a jamais rendu coup pour coup, mais a prié : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font. » (cf. Lc 23:34). Cet amour dépasse la compréhension humaine.
Si nous rapportons cela à la vie de l’Église aujourd’hui, nous constatons qu’elle se divise souvent pour des raisons secondaires, préférant les querelles et les ressentiments à la réconciliation et au pardon. Le pasteur David Jang explique que la croix doit rester au centre de l’Église pour éviter cette dérive. Il ne s’agit pas d’une simple décoration ni d’un symbole religieux, mais de la puissance même de Dieu pour la réconciliation et la transformation. C’est ainsi que l’Église peut exercer une influence positive dans le monde. L’humanité ne cherche pas d’abord à être éblouie par la richesse ou la puissance, mais à rencontrer le véritable amour. Or, ce véritable amour s’est manifesté sur la croix, dans le don total de Jésus.
Ainsi, l’événement de la croix n’est pas un récit tragique enfoui dans le passé, mais une interpellation permanente pour l’Église et pour chaque croyant. Même de nos jours, tout comme les soldats et les chefs religieux qui ont dépouillé Jésus, nous risquons d’être confrontés à l’injustice et à la moquerie si nous annonçons la vérité de l’Évangile. Cependant, c’est précisément dans de telles situations que l’Église peut se distinguer, non en se livrant aux “tirages au sort” pour défendre des avantages matériels, mais en persévérant sur le chemin du Seigneur, dans la solidarité et la compassion envers les plus faibles.
Le pasteur David Jang qualifie cela de “discipulat cruciforme”. Il ne s’agit pas d’une domination ni d’une mainmise sur le monde, mais d’un abaissement, d’une participation à la souffrance du monde et d’une mise en pratique de l’amour pour autrui. La croix représente alors la forme ultime du discipulat. Certes, il y a un coût à payer pour renoncer à soi-même et à ses convoitises, mais derrière la souffrance se tient la gloire de la résurrection. C’est la “voie sainte” que l’Église est appelée à suivre.
À travers ses sermons et ses écrits, le pasteur David Jang expose des applications concrètes de ce message dans le contexte actuel. Il recommande que, dans une société obsédée par la compétitivité et le matérialisme, l’Église investisse moins dans des programmes somptueux ou des infrastructures onéreuses que dans l’aide aux défavorisés et la compassion envers ceux qui souffrent. Il déconseille également toute forme de collusion avec le pouvoir politique pour accroître son influence. À la manière de Jésus qui a choisi la place la plus humble, l’Église doit développer une culture de service et de respect de l’autre, ce qui est la mise en œuvre pratique de la spiritualité de la croix.
Aujourd’hui, l’Église fait face à de nombreux défis : un nombre grandissant de jeunes la quittent, la société postmoderne prône le relativisme, et l’autorité morale de l’Église est parfois ébranlée. Mais le pasteur David Jang rappelle que la véritable influence de l’Église ne repose pas sur des stratégies grandioses ni sur la recherche d’alliances avec le pouvoir. Au contraire, c’est en demeurant fidèle à l’Évangile, en s’agenouillant au pied de la croix, qu’elle peut réellement transformer le monde. C’est ce que l’histoire nous enseigne : les Églises attachées à la spiritualité de la croix ont toujours été des phares dans l’obscurité, agissant comme sel et lumière pour leur époque.
C’est pourquoi il est indispensable que l’Église et ses membres se forment quotidiennement à “fixer le regard sur la croix”. La croix nous rappelle que nous sommes pécheurs, rachetés par la mort substitutive de Jésus-Christ, et qu’ainsi nous pouvons nous tenir devant Dieu sans culpabilité. Elle nous rappelle aussi la puissance du pardon et de la charité : nous sommes appelés à pardonner et à aimer, comme Dieu nous a pardonnés et aimés. Le pasteur David Jang remarque que bien des difficultés au sein de l’Église naissent du fait qu’on a perdu de vue le sens profond de la croix. Avant même de réformer les formes du culte, de moderniser les programmes ou d’optimiser l’organisation, il convient de restaurer la théologie de la croix.
Le comportement des femmes qui sont restées au pied de la croix, au lieu de s’enfuir comme la plupart des disciples, rappelle l’“identité” à laquelle l’Église doit aspirer. À cette époque, les femmes bénéficiaient de peu de reconnaissance sociale et juridique. Pourtant, leur engagement et leur courage ont fait d’elles les témoins clés de la crucifixion. De la même manière, l’Église est appelée à se tenir aux côtés des plus vulnérables et des marginalisés d’aujourd’hui. Le pasteur David Jang exhorte l’Église à ne pas se contenter de rester à l’intérieur de ses murs, mais à être une “communauté ouverte”, qui partage la peine de ceux qui pleurent et se tient prête à aider ceux qui sont exclus.
Le message que la croix adresse à l’Église d’aujourd’hui est limpide : le sacrifice de Jésus et l’amour qu’Il a manifesté doivent rester la norme de son action et de sa vie. Même si l’Église fait face à des conflits internes ou à l’hostilité du monde, elle est appelée à se rappeler que la croix est le chemin de la vie. C’est en s’abaissant, en s’humiliant, en servant et en aimant que l’Église offrira au monde un visage différent de celui de la convoitise ambiante. Et lorsque le monde verra cette Église marcher dans la voie de la croix, nombreux seront ceux qui viendront à la foi. Pour le pasteur David Jang, “le chemin de la croix suivi par le Christ crucifié demeure toujours vivant et actuel”.
En conclusion, quand nous contemplons dans Jean 19 la passion et la mort de Jésus, nous comprenons qu’il est vital d’abandonner nos désirs égoïstes et de revêtir la pensée du Christ. De nombreux disciples ont fui au moment de l’épreuve, mais les femmes présentes au pied de la croix ont montré l’exemple suprême de la fidélité à l’amour. De même, si l’Église d’aujourd’hui demeure attachée à l’amour de la croix, même sous la critique et la persécution du monde, elle expérimentera la gloire de la résurrection promise par Dieu. Tel est, selon le pasteur David Jang, le message essentiel de ce passage.
La crucifixion de Jésus-Christ constitue le cœur de l’Évangile et révèle qu’Il est à la fois Roi et Grand Prêtre. Mais cette œuvre de salut s’accomplit au milieu de la violence des soldats romains et de la dureté des chefs juifs. C’est là un signe qui indique à l’Église et au croyant comment vivre la sainteté et l’amour au sein d’un monde pécheur. Il ne s’agit pas de faire compromis avec le péché, ni de se cacher par crainte des critiques, mais de suivre la voie du Christ au pied de la croix, proclamant la grâce qui peut transformer les “brigands” que nous sommes. Le pasteur David Jang déclare : « Seule l’Église revêtue de la spiritualité de la croix a le pouvoir ultime de changer le monde. »
La croix est bien un symbole de larmes, de souffrance et de mort, mais elle est aussi la clé de la résurrection, de l’espérance et du salut. Être chrétien, c’est choisir de vivre en regardant cette croix ; être une Église véritable, c’est refaire en permanence ses priorités à la lumière de la croix. Au pied de la croix, nous n’avons plus envie de nous disputer, comme les soldats romains, pour un bien dérisoire ; ni de calculer, comme Pilate, nos intérêts politiques. Nous sommes imprégnés par l’amour de Dieu qui, par Son sang, a racheté des âmes précieuses, et nous ne voulons plus quitter Celui qui nous a aimés jusqu’au bout.
Selon le pasteur David Jang, l’événement de la croix est à la fois le “point de départ spirituel” et la “destination continue” pour l’Église et les croyants. Il est un point de départ, car c’est grâce à la mort de Jésus que nous recevons le pardon des péchés et le salut ; et il est une destination continue, car nous tombons souvent, mais la croix nous relève sans cesse. Le monde est toujours rempli de “brigands” et de soldats cupides ; on voit aussi beaucoup de “faux rois” qui s’arrogent le droit de régner. Mais l’amour rédempteur que Jésus a révélé sur la croix continue d’agir pour inviter les pécheurs au salut.
C’est pourquoi l’Église doit se recentrer sur la croix et annoncer cet amour, s’y conformer dans ses actions, et tenir ferme dans l’espérance de la résurrection. Jésus s’est fait ôter jusqu’à Sa “tunique sans couture”, symbole de Son corps déchiré et de Son sang versé, afin que nous recevions la vie. Devant un tel sacrifice, l’Église ne peut plus s’accrocher à ses possessions ou à ses privilèges. Si le Seigneur a tout donné, nous sommes appelés à Le suivre dans l’amour, le partage et la consécration.
Pour le pasteur David Jang, la croissance spirituelle de l’Église autour de l’événement de la croix s’articule autour de deux axes essentiels. Le premier consiste à saisir par la foi la rédemption accomplie par le sacrifice total de Jésus. Nous ne devons plus être prisonniers de la culpabilité ou de l’impuissance, mais célébrer dans la joie la liberté que nous avons reçue. Le second axe est le “discipulat” : cet amour reçu doit nous conduire à aimer et à servir les autres. Autrement dit, la grâce véritable débouche toujours sur le don de soi et le service.
En définitive, l’événement de la croix soutient notre foi et oriente la vie de l’Église au milieu du monde. Le pasteur David Jang nous exhorte à ne jamais perdre de vue cet appel crucial. Ainsi, l’Église n’est pas seulement une institution religieuse, mais un canal de la puissance de Dieu qui guérit et délivre. L’amour renversant, manifesté lorsque Jésus est mort entre deux brigands et s’est fait dépouiller de Sa tunique, demeure la source vivifiante qui nous restaure et nous fait renaître.
The event of Jesus Christ’s crucifixion is the core of Christian faith and its most climactic moment. In John 19:18 and the following verses, we find a vivid account of Jesus ascending Golgotha, being crucified alongside two thieves, and undergoing excruciating suffering. According to the text, Jesus is nailed to the cross “in the middle,” which powerfully reveals His redemptive work—dying in place of sinners in the very midst of them. The image of Jesus placed between two criminals is shocking, yet it bears profound spiritual implications, for it shows that the Son of the Almighty God took on humanity’s sin in the most shameful and tragic place.
In his interpretation, Pastor David Jang notes that the crucifixion event should not be seen merely as a “defeat” or a tragedy. In the same passage, Pilate’s inscription of the title “King of the Jews” in Hebrew, Greek, and Latin demonstrates a sovereign plan that this news would be proclaimed not only to the Jews but also to the Greeks and Romans. This detail can be understood as a foreshadowing that Jesus is not just the king of the Jews, but the Messiah who came to save all humanity. Emphasizing this point, Pastor David Jang stresses that Jesus’s redemptive work is never confined to a particular ethnic group or social class. Paradoxically, the inscription proclaiming Jesus as the King of the Jews—intended by Pilate to serve political ends—ultimately declares the majesty and true identity of Jesus.
Although Pilate committed a grave sin by handing over an innocent man to be crucified under charges of political disturbance, the sign he insisted on—“King of the Jews”—in fact revealed Jesus’s true identity. Pilate’s resolute statement, “What I have written, I have written,” becomes a kind of “instrument” in unveiling the redemptive plan of God, a plan Pilate himself did not understand. According to Pastor David Jang, we can see in this irony the hidden providence of God: that even chance events in human history or the arrogant decisions of authorities inevitably come to fulfill God’s ultimate intentions.
Thus proclaimed the “King of the Jews,” Jesus is subjected to utter humiliation and suffering on the cross to bear the sins of the world. Most of His disciples flee, leaving behind only a few women and His beloved disciple John. Meanwhile, the Roman soldiers cast lots for the garments of those crucified, essentially plundering the last possessions of a condemned man. They even cast lots for Jesus’s final garment, a “seamless tunic.” Outwardly, this looks like nothing more than an act of taking a dying man’s last belongings, but spiritually, it represents the world’s greed. While the Lord emptied Himself completely for sinners, the world foolishly fought over His last remaining piece of clothing.
Pastor David Jang says that this scene acts like a “mirror,” prompting the church and individual believers to examine themselves. Merely because one is a believer or part of a church does not guarantee humility and self-denial before the cross. Sometimes, even the church community mirrors the world’s ways—competing for more possessions, higher status, and greater fame. The Roman soldiers’ greedy behavior under the cross in John 19 is not merely a story from the distant past but a warning of what can still unfold in today’s church. Pastor David Jang calls for self-reflection: Are we at times using our faith to pursue worldly goals rather than meditating deeply on the suffering and mercy of Christ under the cross?
Standing near the cross, however, are four women who do not flee in terror but remain with the Lord in His suffering. They are Jesus’s mother Mary, His aunt, Mary the wife of Clopas, and Mary Magdalene. This place was not just sorrowful; it was terrifying because Roman soldiers were guarding it and executing people mercilessly. Yet these women stood by, clinging to the cross and watching Jesus in love. They could have fled like Peter did, but their love overcame their fear. This is a significant lesson for believers even today: Though there is suffering on the path of the cross, anyone who truly grasps Christ’s love does not turn away. Pastor David Jang says that the devotion of these women symbolizes the courage and love that the church should emulate, as they remained and accompanied Jesus through the most agonizing moments.
Meditating on this passage helps us more deeply understand how Jesus, who is both King and High Priest, descended to the lowest place. In the Gospel of John, Jesus repeatedly hints at His identity as the “good shepherd who lays down His life for the sheep” (cf. John 10). Indeed, Jesus surrendered everything and ended up losing even the seamless tunic He wore. The love shown by Jesus in bearing the sins of the whole world on the cross far exceeds any moral act of kindness in this world. It was a perfect sacrifice for sinners, and it stands as the most dramatic redemptive event revealed by God Himself through Jesus. Pastor David Jang invites us to meditate on this “irony” of Jesus being the greatest King who, at the same time, empties Himself completely in the form of a servant.
Another noteworthy point is that John specifically mentions Jesus’s undergarment as being “woven in one piece from the top.” This brings to mind the style of clothing worn by the high priests in ancient Israel. The High Priest of old wore distinctive garments symbolizing holiness—signifying complete service unto God. Pastor David Jang explains that the fact that Jesus’s tunic was woven in one piece implies that He, as the true High Priest, died to accomplish a complete redemption. On the surface, Jesus’s death seems pitiful and vain, but on a spiritual level, it was the majestic moment of fulfilling the most honorable mission. Meanwhile, the Roman soldiers’ act of casting lots for that garment starkly contrasts human selfishness and indifference with the holiness of Jesus’s sacrificial role.
Hence, the casting of lots by the soldiers at the foot of the cross reveals a hardened indifference to Jesus and the height of worldly greed. Those consumed by greed cannot see Jesus as the true King; they view even His final garment merely as profit. It is a refusal of grace at the very moment it is most needed and is tantamount to mocking God. Yet for those who properly meditate on the Lord’s crucifixion, this scene is not only shocking but also a sign that prompts us to examine our own spiritual condition. Everything we fear losing has already been given up by Christ, who gave all He had for our salvation. Therefore, He alone is both the key to overcoming greed and materialism, and the holy example we should follow.
The official title “King of the Jews,” declared at Pilate’s judgment seat, and the image of Jesus on the cross, stripped of everything, form a mysterious paradox: He is the King who willingly gave up everything; the holy High Priest who suffered the most shameful criminal’s death; the One who holds all power yet chose to be mocked among the crowds. Pastor David Jang notes that this spiritual paradox is the very essence of the gospel we must grasp through the crucifixion. The cross was not Jesus’s defeat but His ultimate victory, and it was the greatest expression of love for all humanity.
In this way, the core of the “theology of the cross” that Pastor David Jang underscores is that Jesus, though sinless, lowered Himself to the place of sinners and became the perfect sacrificial offering to reconcile God and humanity. The image, as John’s Gospel shows, of “The Crucified God” reflects the fundamental value and identity that Christians should hold in mission and ministry. In a world that pursues more and better, comfort and success, the church and believers are called to take the opposite path—the path of the cross. On that path, we learn to lay aside our selfish desires, pride, and empty worldly ambitions, relying solely on the grace and love of the Lord.
Therefore, Pastor David Jang teaches that we must always return to the foot of the cross and behold it vividly. The Roman soldiers’ casting of lots for Jesus’s final garment is not just some barbaric act of the past but something that can happen in today’s churches as well—if we reduce the cross to a mere tool for “possessions and greed.” We must examine whether we have subtly become complicit in such a worldly plan. At the same time, the image of Jesus giving up absolutely everything reawakens our faith and inflames our longing to be like Him. Pastor David Jang points out that what the church must display in the world goes beyond mere asceticism or renunciation; it is the practical demonstration of love that voluntarily gives itself up where it is needed and willingly shares in others’ suffering.
The scene at the cross is filled with ironies: “the Son of God placed among thieves,” “the purest one dying in the filthiest place.” In those ironies, we are compelled to remember that, as sinners, we have been saved by the grace of Jesus. The contradictory details in this story illuminate even more powerfully Jesus’s absolute sovereignty and love. And that love is connected to the women who stayed until the end at the foot of the cross, showing true devotion and courage. Pastor David Jang asserts that the church should learn from these women’s sincere faith and sacrificial love. Only love can drive out fear, and only love can keep us from abandoning the Lord even in the midst of severe suffering under the cross.
John 19 records how Jesus’s crucifixion fulfilled the prophecies of Scripture (such as Psalm 22) and achieved perfect salvation within God’s holy purpose. The central message Pastor David Jang emphasizes here is that the path Jesus took—stepping down, emptying Himself, giving everything—was genuine victory and is the sacred calling given to us. Pilate’s oppressive political decree, the soldiers’ greedy casting of lots, and the merciless cries of the Jewish leaders are all ultimately rendered powerless before the redemptive work Jesus accomplished. The wooden cross, where Jesus is proclaimed “King of the Jews,” stands as a symbol of truth mightier than any political schemes or worldly ambitions.
When we look up at Jesus on the cross, we realize Jesus’s absolute self-giving and the values of God’s kingdom. We also come to acknowledge that this path is the path we, too, must follow. Pastor David Jang proclaims that the way of the cross is the source of grace that keeps the church alive. Though the world continues to divert our focus and tempt us with greed and selfishness, those who fix their eyes on the cross receive the Spirit of Jesus’s love, humility, sacrifice, and devotion. The sinless Son of God, suffering among thieves, reveals the depth of His love for us, who, like robbers, were lost in our sin. Even today, this truth remains the heart of the gospel. We must cling to it and draw near to the foot of the cross. According to Pastor David Jang, this gospel is the greatest gift the church can offer the world: the message of Jesus’s holy sacrifice.
2. The Cross
Though the crucifixion of Jesus happened two thousand years ago, it continues to profoundly affect today’s church and believers. Modern society is often characterized by materialism and individualism, and the church itself can sometimes be swayed by secular trends. In this context, Pastor David Jang highlights the crucifixion scene in John 19:18 and the verses that follow, reminding the church and Christians of the essential values we must hold. He summarizes the spiritual lessons of the cross in two main points: first, that God’s self-emptying and sacrificial love for us is the very essence of salvation; second, that this love must manifest in concrete actions in our daily lives.
The crucifixion scene—“the Son of God crucified between thieves”—confronts us with a dramatic paradox. Though Jesus was condemned as a criminal, in truth He was carrying out the atoning work for the sins of those very criminals. Viewing this paradox from the perspective of the modern church, we see that the church, too, is often ridiculed and scorned by the world, but it is precisely in such times that the church is challenged to reveal the true heart of the gospel. Pastor David Jang explains that when the church practices “the theology of the cross” in the midst of the world, it invites the “thieves”—those stuck in sin—to encounter salvation.
The problem arises, however, when the church forgets the “spirit of the cross” and succumbs to the lure of material abundance, external influence, or alliances with worldly power. This is no different from the Roman soldiers rolling dice to divide up Jesus’s clothing at the foot of the cross. We may profess faith and ask for God’s grace, yet in reality we often wonder, “How can I make a bit more profit?” or “How can I expand my possessions and prestige?” Pastor David Jang warns that the soldiers’ gambling for Jesus’s last garment is not simply a matter of ancient history but something that can happen within the modern church if we are not vigilant.
Here Pastor David Jang reminds us that Jesus never exercised His kingship according to worldly standards, nor did He pursue material wealth. Rather, unlike the kings of the world, He lowered Himself and served in the form of a servant, ultimately dying in the most shameful way with nothing left in His possession—thereby completing God’s redemptive plan. In this light, both the church and believers are faced with a serious call to recover a “cross-centered spirituality.” Even though we proudly call ourselves disciples of Jesus, we often follow the world’s success formulas and seek comfort and wealth. But Jesus said, “Whoever wants to be my disciple must deny themselves and take up their cross and follow me” (Matthew 16:24). This is the life the church and believers are truly called to.
Thus, the cross is both a symbol of disgrace, shame, and death, and the starting point of resurrection hope that transforms a believer’s life. Pastor David Jang asserts that there can be no resurrection without the cross, nor can one enjoy a new life without self-denial. Therefore, a community that believes in and follows Jesus must constantly meditate on the love of the cross and put it into practice. Only then can the church be the salt and light of the world. Jesus hung between thieves, endured mockery from Roman soldiers, and was scorned by the people as “the so-called King of the Jews.” Yet even in the face of such humiliation, He did not respond with divine vengeance or retaliation; He offered forgiveness to the end. “Father, forgive them, for they do not know what they are doing,” is a prayer reflecting the pinnacle of a love that defies human logic.
Applying this to our present reality, we see how frequently churches break into disputes over trivial matters, fail to forgive, and harbor resentments—ignoring the commandment of love that Jesus taught. Pastor David Jang stresses that the cross must stand at the very center of church life for exactly this reason. It must not be just a decorative ornament or a religious emblem, but an active source of transformation, reconciliation, and forgiveness in our lives and communities. This is the true power of the cross and the way in which the church can exert a positive influence on the world.
Moreover, by examining the women who stayed with Jesus until the end at the foot of the cross, we realize anew that, in the end, love remains. These four women—Jesus’s mother, His aunt, Mary the wife of Clopas, and Mary Magdalene—risked their safety to remain there, motivated by deep love. From a rational perspective, staying near the place of execution could only bring them unnecessary danger. But their love for Jesus kept them there, which in turn resulted in the blessing of being the first to witness the risen Lord on Easter morning. Pastor David Jang believes that when the church does not lose sight of this love, it can bear witness to the resurrection, even in a world filled with ridicule and persecution.
Pastor David Jang highlights the principle that “love overcomes fear,” affirming that the only way the church can resist secular temptation and preserve the essence of the gospel is to stand firmly on the foundation of the cross’s love. No matter how large or impressive a church’s building or programs may be, if the spirit of the cross is absent, it will fail to move people’s hearts, and God’s power will not be evident. The world, even now, is seeking “genuine love,” not the church’s financial might or architectural grandeur. And that love flows directly from Jesus, who poured out everything on the cross.
Therefore, the crucifixion is not just a harsh death story from the past. As long as the church exists, the cross continually confronts our sins, even as it invites us to follow the path of forgiveness and love. Just as Jesus was crucified though He was innocent, while soldiers and religious leaders mocked Him and stripped Him of His garments, the church and believers today may also suffer unjust treatment and mockery. But it is precisely at such times that we can demonstrate a different way of responding. We should not, like the Roman soldiers, stir up contention just to gain more tangible benefits—our own “casting of lots”—but follow Jesus’s example quietly, sharing love and identifying with others in their pain.
Pastor David Jang refers to this as a “cruciform discipleship.” It means a discipleship that does not rule over the world like a king but one that empties itself, participates in the sin and wounds of the world, and practices self-giving love. In that sense, the cross is the ultimate model of discipleship, and it inevitably involves a painful process of denying our self-centered ambitions. Yet beyond that suffering lies the glory of resurrection. Participating in this process is the “holy way” that the church is called to walk.
Through his preaching and writing, Pastor David Jang offers concrete suggestions for how the church can apply the message of the cross in our modern context. For instance, in a society that worships money and relentless competition, he urges churches to devote their resources not just to lavish events or facility expansions but to supporting the socially disadvantaged and those in suffering. Instead of aligning itself with political power or striving for worldly influence, the church should, like Jesus, serve from a lowly position and create a culture of respect for others. This, he insists, is the practical implementation of the cross’s spirit.
Today’s church faces many challenges. Young people are leaving, and the tides of postmodernism, pluralism, and moral relativism are rising, reducing the church’s apparent influence. Yet Pastor David Jang emphasizes that the church’s true power does not lie in grand slogans, popular programs, or political alliances. Instead, a church that holds fast to the pure gospel, humbles itself before the cross, and embodies Christ’s love can effect genuine change. History shows that churches which have centered their spirituality and practice on the cross have been precisely those that serve as salt and light in their societies.
Hence, Christians need to make it a regular discipline to keep their eyes on the cross in daily life. The cross declares: “I acknowledge that I am a sinner, and that Jesus died in my place.” It is also the place where, by the power of that love, we receive the ability to forgive and love others. Pastor David Jang identifies many of the modern church’s ills as arising precisely because we lose sight of the spiritual essence of the cross. Before debating worship style or program changes, or even reorganizing church structures, the church must first restore the theology of the cross.
We should also remember that the women at the foot of the cross, who remained until the end, serve as a reminder of the church’s identity. As women in that era, they were marginalized and lacked legal protection. Yet their devotion and courage made them central witnesses of the crucifixion event. Likewise, the contemporary church realizes the spirit of the cross when it stands in solidarity with society’s marginalized, the silenced, and the suffering. Pastor David Jang repeatedly asserts that the church cannot merely be a place where people gather for worship within its walls; it must also be an open community that sheds tears alongside those who weep and actively cares for the marginalized.
The message of the crucifixion for today’s church is unambiguous: the church must follow the spirit of the cross—Jesus’s model of self-sacrifice and love. Even if conflict and division arise within the church, looking to the cross and seeking paths of forgiveness and reconciliation should be our priority. Even if society mocks or criticizes the church, we must believe that the way of the cross is the way of life and respond with greater humility. In doing so, the church’s humility becomes a channel for serving and loving the world, which may ultimately bring many souls to the gospel. Pastor David Jang concludes that this is “how the way of the crucified Jesus continues to unfold powerfully today.”
Reflecting on John 19 and Jesus’s suffering and death, then, we must earnestly recognize how crucial it is for us to forsake our worldly desires and self-interest, and to embrace the heart of the Lord. Many of Jesus’s disciples dispersed in fear at His suffering, but the few who remained—especially the women—held fast to that love. Similarly, if the modern church holds firmly to the “love of the cross,” even amid the world’s disparagement and persecution, it will share in the resurrection glory that the Lord has prepared. This is Pastor David Jang’s message.
The crucifixion encapsulates the very core of the Christian gospel and simultaneously reveals Christ’s kingship and His role as High Priest. But what is astonishing is that this glorious salvation was accomplished in the midst of the cruelty and callousness of Roman soldiers and Jewish leaders. This fact points directly to how the church and believers must practice holiness and love in a sin-ravaged world. Rather than yielding to the world or hiding in fear of being ridiculed, we should stand at the foot of the cross, follow Jesus’s footsteps, and proclaim the grace that saved us “robbers.” Pastor David Jang insists that only a church “armed with the spirituality of the cross” can truly transform the world.
The cross signifies tears, suffering, and even death, but it also opens the way to resurrection, hope, and salvation. Being a Christian means deciding to live in the shadow of the cross; a church becomes truly the church when it rearranges its priorities and ministries under the spirit of the cross. Standing before the cross, we no longer resemble the soldiers who cast lots over trivial possessions or the rulers who look for political advantage. Instead, we become people so captivated by God’s love that we cherish those souls Jesus purchased with His blood, and we persevere in following the Lord even through hardship.
According to Pastor David Jang’s teaching, the crucifixion is both the “spiritual starting point” for the church and believers, and the “continuous place of return.” It is the starting point because we were forgiven and saved by Christ’s death; it is the continuous place of return because even after resolving to deny ourselves and follow Jesus, we stumble, and it is the power of the cross that picks us up again. The world is still full of “thieves,” greedy soldiers, and self-proclaimed kings, but the atoning love Jesus demonstrated remains powerful and keeps calling sinners to salvation.
Hence, the church must refocus on the cross, declaring and embodying this love, never losing hope in the resurrection. Because Jesus, on the cross, was stripped even of His seamless tunic—symbolizing His fully sacrificed body—we, too, can enter salvation. Facing this reality, the church can no longer cling to self-interest. If the Lord has given everything, then it is only fitting that we also share our resources, devote ourselves, and love sacrificially.
Pastor David Jang summarizes the church’s spiritual growth through the crucifixion in two ways. First, it is about grace: believing that Jesus’s total sacrifice has atoned for our sins so that we can worship and serve with joy and freedom, rather than being trapped in guilt or powerlessness. Second, it is about discipleship: this grace compels us to show “cross-shaped love” to others in the world. Whoever receives grace naturally learns to extend grace to others, and that is precisely the church’s essential calling.
Thus, the crucifixion not only upholds and strengthens our faith but also lays out a clear path for how the church should live amid the world. Pastor David Jang stresses the importance of daily meditation on the cross and urges us to put it into action. In doing so, the church becomes more than just another religious institution; it becomes a conduit of God’s power that truly heals and revives the world. The shocking love displayed when Jesus, placed among thieves, silently endured the cross—completing salvation only after He was stripped of His last garment—remains the life-giving source that restores and regenerates us even today. This is the very heart of the gospel.